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les collections aristophil

der Theorie reeler Räume ». Il n’y a pas d’analogue à cette spécia-

lisation de la métrique dans la théorie des espaces réels métriques.

Il ressort de (18) qu’Aiklm n’est pas le seul tenseur du caractère de

symétrie envisagé. Le reste, cependant, ne semble permettre aucune

sorte d’interprétation simple. Il me semble que le tenseur Aiklm est

ici d’une importance centrale, correspondant au tenseur de courbure

de Riemann dans la théorie des espaces réels.

§6.

Die Feldgleichungen

. (Les équations de champ). « In der Theorie

metrischer reeller Räume sind die Feldgleichungen bestimmt durch

die Forderungen, dass die Gleichungen Tensorgleichungen von der

zweiten Differenziationsordung und vom Range 2 sein sollen. Denn

würde hier die Forderung entsprechen, dass die linke Seite der

Feldgleichungen Ausdrücke der zweiten Differentiations-Ordung

und vom Charakter eines hermitischen Tensors ist. Diese Forderung

bestimmt aber die Gleichungen nicht eindentig. Man erhält vielmehr

für die linke Seite Gik der Feldgleichungen auf Grund dieser Forderung

allein einen Ausdruck mit zwei willkürlichen Konstanten. Nach vielen

Versuchen, auf Grund formaler Gesichtspunkte unter den Möglich-

keiten eine Auswahl zu treffen, erscheint mir die folgende Forderung

die natürlichste zu sein :

Alle spezielle Felder vom Typus (16) sollen

Lösungen der Feldgleichungen sein

 »… Dans la théorie des espaces

réels métriques, les équations de champ sont déterminées par les

exigences selon lesquelles les équations doivent être des équations

tensorielles du deuxième ordre de différenciation et de classe 2. Car

ici, l’exigence correspondrait à ce que la partie gauche des équations

de champ soit l’expression du deuxième ordre de différenciation et

du caractère d’un tenseur hermitien. Cependant, cette exigence ne

détermine pas sans équivoque les équations. Au lieu de cela, pour

le côté gauche Gik des équations de champ, une expression avec

deux constantes arbitraires est obtenue sur la base de cette seule

exigence. Après de nombreuses tentatives de sélection parmi les pos-

sibilités basées sur des considérations formelles, l’exigence suivante

me semble la plus naturelle :

tous les champs spéciaux de type (16)

doivent être des solutions des équations de champ

Le manuscrit s’achève par cette remarque : « Bemerkung. Die

vorgeschlagene Theorie setzt voraus, dass die Felder vom Typus

(6) als den Galilei’schen Feldern physikalisch äquivalent aufgefasst

werden können. » La théorie proposée suppose que les champs de

type (6) peuvent être considérés comme physiquement équivalents

aux champs galiléens.

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