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un fondé de pouvoirs de la Société Générale,
une bourgeoise légère, l’ont été, dans ma
jeunesse, par des géants, par le Maréchal
Foch lui-même, par Pasteur, par Madame
Steinheil. Les rôles de confidents, de pères
nobles, de traitres vont être attribués, dans
cette histoire, pour respecter la vérité, à
des présidents de l’institut, des fondateurs
de la chimie moderne, des présidents du
conseil. Mais il m’était aussi doux d’être
amoureux entre l’extrême puissance, le génie,
l’extrême richesse, de heurter chacun de
mes mouvements d’amoureux anonyme et
maladroit à des noms ou des actions illustres,
que de conduire mon amour en Suisse,
comme les autres font, et de l’entourer de
montagnes ». 1 [1825-1826], 2 [898-899], 3
[1826], 4-5 [891-892], 6 [1827], 7 [969-970], 8
[1827, 899], 9 [1828], 10 [893-894], 11-13 [1828-
1830], 14-17 [894-896], 18 [1830-1831], 19-20
[900-901], 21-24 [1831-1833, 901-902], 25-30
[1833-1836].
* Chapitre II (ff. 31-62, à l’encre violette), qui
correspond aux actuels chapitres premier et
iii
. 31-44 [879-890], 45-62 [902-916].
* Chapitre 3 (ff. 63-85, encre violette puis
noire). 63-74 [
La France sentimentale
: « Le
couvent de Bella » 1194-1195, 255-264], 74-79
[
La France sentimentale
: « Attente devant
le Palais-Bourbon » 251-254], 79-85 [1842,
1846-1848].
* Chapitre quatrième (ff. 86-116, encre noire).
86-100 [chapitre
iv
: 917-929] ; ici commence
dans le manuscrit l’
Histoire de Fontranges
(le titre est resté, mais la mention Chapitre I
a été biffée) : 101-116 [chapitre
v
: 930-943].
* Chapitre [sixième] cinq (ff. 117-139, encre
bleutée). 117-132 [943-956], 132-133 [
La France
sentimentale
1188-1189], 133-137 [
La France
sentimentale
: « Français amoureux aux Jeux
Olympiques » 246-250], 138-139 [
La France
sentimentale
1192-1193].
* Chapitre VI (à l’origine chapitre 2 d’
Histoire
de Fontranges
; ff. 140-155, encre bleutée) :
[Églantine chapitre
iv
: 1060-1073].
* VII (ff. 156-165, encre bleutée, noire pour la
dernière page) [chapitre
vii
: 961-969].
* Chapitre [neuf] VIII (ff. 166-188, encre noire)
[chapitre
viii
: 969-987].
* Chapitre 9 (au crayon bleu :
Histoire de
Fontranges
. Chapitre 3.
Il vient de perdre
sa fille
; ff. 189-205, encre bleutée) [chapitre
ix
: 987-1000].
On a monté en tête du manuscrit 2 L.A.S. de
Jean Giraudoux, 8 et 9 juillet 1925 (à en-tête
du
Ministère des Affaires étrangères
), sur la
vente du manuscrit à André
BERTAUT
pour
la somme de 3.500 francs, par l’entremise
de Louis Brun.
Ancienne collection André
BERTAUT
(10-11
avril 1957, n° 213).