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97

SCIENCES

591

EINSTEIN Albert

(1879-1955).

L.A. S. « A. E. », 15 février 1950, à

Ernst Gabor STRAUS ; 1 page in-4 ; en

allemand.

5 000 / 6 000 €

Discussion d’équations

.

« Ich sehe nun, dass Sie mit Ihrem Einwand

ganz recht haben

. Gegenüber der Feldglei-

chung [

formules

] sagt die Identität [

formules

]

thatsächlich nichts Neues aus, sodass man

auf diese Identität keinen Beweis der erwei-

terten Gleichungen stützen kann. Der in der

Fussnote angegebene Beweisgang muss

daher wegfallen.

Dagegen bleibt der im Text gegebene Beweis

unberührt, der sich ausschliesslich auf die

Identität [

formule

] stützt und mit dem Adjun-

gieren von W;e=0 arbeitet.

Durch Multiplizieren von (1) mit gik erhält

man auf Grund dieser Identität und w;e=0

[

formules

]

Es gilt dann die Identität (2) zwischen Gik;e=0

und W;e=0 welcher keine Identität der

ursprüngl[ichen] Gleichungen (1) entspricht.

Es macht Ihnen alle Ehre, dass Sie diesen

Schnitzer entdeckt haben, der von Bargmann,

Eisenhart und noch zwei jungen tüchtigen

Mathematikern trotz genauen Studiums nicht

bemerkt worden ist, auch nicht von Pais

und Pauli. […]

Es hatte mich immer gestört, dass die erst-

genannte Identität [

formule

] in dem im Text

gegebenen Beweise keine Verwendung

findet! »

Einstein voit maintenant que Straus a tout à

fait raison dans son objection. Par rapport

à l’équation de champ [

formules

], l’identité

[

formules

] ne dit en fait rien de nouveau,

de sorte qu’aucune preuve des équations

développées ne peut être basée sur cette

identité. Les preuves fournies dans la note de

bas de page doivent donc être supprimées.

En revanche, les preuves fournies dans le

texte ne sont pas affectées, qui sont basées

exclusivement sur l’identité [

formule

] et fonc-

tionnent avec l’adjonction W;e=0.

En multipliant (1) par gik on obtient sur la

base de cette identité et W;e=0 [

formules

].

L’identité (2) entre Gik;e=0 et W;e=0 s’applique

alors, ce qui ne correspond à aucune identité

des équations originales (1).

C’est un honneur pour Straus d’avoir

découvert ce [Franz Josef] SCHNITZER

qui, malgré une étude approfondie, n’a pas

été remarqué par [Valentine] BARGMANN,

[Luther P.] EISENHART et deux autres jeunes

mathématiciens, pas même [Sidonio] PAIS et

[Wolfgang] PAULI…

Il ajoute que cela l’a toujours dérangé que

l’ancienne identité [

formule

] ne soit pas

utilisée dans les preuves fournies dans le

texte !...