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les collections aristophil

gravitierende Massendichte haben. Dies

muss man wohl unbedingt ausschliessen ».

Mais il y a une autre raison, plus physique,

qui oblige à se limiter au

Γ

réel. Le sys-

tème d’équations est compatible pour les

Γ

réels et complexes. Dans ce dernier cas,

cependant, on peut montrer l’existence de

champs sans singularité qui ont une densité

de masse gravitationnelle négative. Cela doit

absolument être exclu…

Après de nouveau calculs, il observe :

« Die Nützlichkeit der “besonderen”

λ

-Transformation beruht auf zwei Umständen.

1) Sie erlaubt, durch nachträgliche Festset-

zung von

λ

i (Normierung) das

Γ

i zu 0 zu

machen.

2) Die Transformation (2) ist so, dass der

Zusatz zu Rik auf der rechten Seite hängt

von den

λ

i allein, aber nicht von den T ab

(wobei Rik genau so von den

Γ

x

abhängt wie

Rik von den

Γ

) ».

L’utilité de la transformation

λ

“spéciale”

repose sur deux circonstances.

1) Elle permet de mettre

Γ

i à 0 en réglant

ensuite

λ

i (standardisation).

2) La transformation (2) est telle que l’addition

à Rik sur le côté droit dépend du seul

λ

i, mais

pas de

Γ

(où Rik dépend de

Γ

x

tout comme

Rik dépend de

Γ

)…

De nouveaux calculs conduisent à la conclu-

sion :

« Bei der von Ihnen vorgeschlagenen

λ

Transformation würde

der Zusatz

zu Rik

in der zweiten Form des Variationsprinzips

von den

Γ

explicite abhängen, sodass die

Variation nach den

Γ

nicht zu (4) führt, über-

haupt im Allgemeinen nicht zu einer trans-

mutations-invarianten Gleichung.

Deshalb würde trotz der grösseren Freiheit

inbezug auf die Normierung kein Vorteil

für die Formulierung der Feldgleichungen

resultieren »…

Dans la transformation

λ

-μ proposée par

Straus, l’addition à Rik dans la deuxième

forme du principe de variation dépendrait

du

Γ

explicite, de sorte que la variation selon

le

Γ

ne conduit pas à (4), généralement pas

à une équation invariante par transmutation.

Par conséquent, malgré la plus grande liberté

en matière de normalisation, il n’y aurait

aucun avantage à formuler les équations

de champ…

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EINSTEIN Albert

(1879-1955).

L.A. S. « A. Einstein », Princeton 26

février [1949], à Ernst Gabor STRAUS ;

2 pages in-4 ; en allemand.

8 000 / 10 000 €

Einstein justifie son retour à une théorie des

champs avec un tenseur métrique à valeur

réelle et l’utilisation d’un groupe restreint

de transformations pour la formulation

d’équations de champ

.

« Die Mitteilung über Ihre Arbeit ist für einen

Unkundigen wie mich wirklich überraschend.

Man empfindet es als eine Art Wunder,

dass die Existenz ganzwertiger Ableitungen

mit der Existenz einer linearen Differenzial-

gl[eichung] mit konstanten Koeffizienten zu

thun hat ». L’annonce du travail de Straus

l’a surpris. C’est une sorte de miracle que

l’existence de dérivés de valeur entière soit

liée à l’existence d’une équation différentielle

linéaire à coefficients constants.

Après divers calculs, Einstein fait cette

remarque : « Es gibt aber noch einen anderen,

mehr physikalischen Grund der dazu zwingt,

sich auf reelle

Γ

zu beschränken. Das Glei-

chungssystem ist zwar kompatibel sowohl

für reelle als für komplexe

Γ

. Im letzteren

Falle kann man aber der Existenz singulari-

tätsfreier Felder aufzeigen, die eine negative