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Jules MICHELET (1798-1874), historien.
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U
ne
l
.
a
.
s
. «J. Michelet », s.l.n.d. (3 pp. in-8°), à une dame : «
Je ne suis point du tout l’homme qu’il faudrait pour
écrire ces livres populaires dont vous me parlez. Ce sont des œuvres de génie, et de toutes les plus rares. Il se fait un tel livre
une fois tous les 1000 ans
…»
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Eugène Melchior, vicomte
de VOGÜÉ (1848-1910), homme de lettres et homme
politique.
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l
.
a
.
s
.
: correspondance adressée au comte de MOÜY, entre 1876 et 1898 (ensemble 108 pp. in-8° ou
in-12), envoyée du Caire et de Thérapie à en-tête de la Mission extraordinaire en Égypte, ou de Saint-
Pétersbourg, où il était secrétaire d’ambassade, et alors qu’il était premier secrétaire au Congrès de Berlin,
en 1878, et
contenant des considérations politiques ou personnelles.
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Georges CLEMENCEAU (1841-1929), homme politique, président du Conseil de 1906
à 1909, puis de 1917 à 1920, qui fut surnommé le Père la Victoire.
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anuscrit
autographe
intitulé : «Ni fleurs, ni couronnes », (5 pp. in-4°) et destiné à figurer
vraisemblablement dans ses chroniques de
L’Homme libre
qu’il avait créé en 1913. Curieux texte en forme
d’oraison funèbre, où Clemenceau se délecte de la lourde défaite essuyée aux élections des Chambres par
les tenants de la représentation proportionnelle : «
Pardonnez-moi lecteur, si j’ai dû céder au charme d’une oraison
funèbre. Comment laisser une si vieille connaissance sans la conduire au champ du repos, surtout quand on fut pour
quelque chose dans l’accident final ?
…» Il ne se prive pas de railler le républicain progressiste Charles-Austin
BENOIST, qui, après avoir longtemps fait campagne pour cette réforme, allait être contraint : « d’annoncer
aux peuples qu’ils ne sauraient tarder davantage à prendre le deuil du
«quotient»
», ce quotient électoral,
calculé d’après le nombre des électeurs inscrits et non des votants, qui avait donné lieu à d’âpres débats.
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