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70.
Paul ÉLUARD
. Carte postale signée en partie autographe,
écrite et signée par sa femme Dominique, et signée par Pablo
Picasso, [Saint-Tropez 15 juin 1951], à Mme Denise Mégret
à Paris ; au dos d’une carte postale illustrée (port de Saint-
Tropez), avec timbre et adresse.
600/800
Mariage de Paul Éluard et Dominique Lemort à Saint-Tropez
le 15 juin 1951. Dominique écrit le texte : « Dominique et [
signature
de
:]
Paul Éluard
se sont mariés aujourd’hui et vous embrassent. Le
Témoin » : [
signature de
:]
Picasso
». Paul Éluard a écrit l’adresse.
66
67
… /…
71.
Paul ÉLUARD
. Ensemble de documents le concernant.
300/400
Carton d’invitation à une vente de livres dédicacés organisée par le Comité National des Écrivains, 13 octobre [1951], signé
par Éluard ; photo du Palais d’Orsay pendant cette vente. Photo d’Éluard à Prague en 1935 (retirage).
L.A.S. de Madeleine Riffaud, Paris 27 novembre 1945, à Éluard, avec note autographe en tête ; plus tapuscrit de sa préface
au recueil
Le Poing fermé
de M. Riffaud.
Faire-part de décès d’Éluard (18 novembre 1952) adressé à Lucien Scheler. Tract et cartons pour un Hommage à Paul Éluard
(1962).
L.A.S. de Dominique Éluard et sa fille Caroline (avec dessins) à L. Scheler.
Copie ancienne de textes d’Éluard publiés dans des revues (8 p. in-4), plus qqs textes dactyl. et notes de Lucien Scheler.
Ensemble de journaux et coupures de presse concernant Paul Éluard.
72.
Georges Faillet, dit FAGUS
(1872-1933) poète. Manuscrit autographe signé, [
La Prière de Quarante Heures,
ou les XIV Stations sous l’Horloge du Destin
, 1920] ; 24 pages in-fol.
400/500
Important manuscrit poétique, mis au net avec quelques ratures et corrections, ayant servi pour l’impression. Cet ensemble
de 18 poèmes a été publié une première fois en 1920 aux éditions Gallus, présenté alors comme « fragment de
La Guirlande à
l’épousée
». Un extrait d’une chanson de noce vendéenne est placé en exergue : « Vous voilà donc enfin / Madam’ la mariée /
Vous voilà donc enfin / À votre époux liée / Avec un long fil d’or / Qui ne rompt qu’à la mort ». Suivent :
La Gloire
,
Les Transes
,
Les Litanies
,
Les XIV Stations
(suite de 14 poèmes), et un poème final : « O mon fils ! de ce nom j’ose encor te nommer »…