Background Image
Previous Page  25 / 140 Next Page
Information
Show Menu
Previous Page 25 / 140 Next Page
Page Background

23

70.

Paul ÉLUARD

. Carte postale signée en partie autographe,

écrite et signée par sa femme Dominique, et signée par Pablo

Picasso, [Saint-Tropez 15 juin 1951], à Mme Denise Mégret

à Paris ; au dos d’une carte postale illustrée (port de Saint-

Tropez), avec timbre et adresse.

600/800

Mariage de Paul Éluard et Dominique Lemort à Saint-Tropez

le 15 juin 1951. Dominique écrit le texte : « Dominique et [

signature

de

:]

Paul Éluard

se sont mariés aujourd’hui et vous embrassent. Le

Témoin » : [

signature de

:]

Picasso

». Paul Éluard a écrit l’adresse.

66

67

… /…

71.

Paul ÉLUARD

. Ensemble de documents le concernant.

300/400

Carton d’invitation à une vente de livres dédicacés organisée par le Comité National des Écrivains, 13 octobre [1951], signé

par Éluard ; photo du Palais d’Orsay pendant cette vente. Photo d’Éluard à Prague en 1935 (retirage).

L.A.S. de Madeleine Riffaud, Paris 27 novembre 1945, à Éluard, avec note autographe en tête ; plus tapuscrit de sa préface

au recueil

Le Poing fermé

de M. Riffaud.

Faire-part de décès d’Éluard (18 novembre 1952) adressé à Lucien Scheler. Tract et cartons pour un Hommage à Paul Éluard

(1962).

L.A.S. de Dominique Éluard et sa fille Caroline (avec dessins) à L. Scheler.

Copie ancienne de textes d’Éluard publiés dans des revues (8 p. in-4), plus qqs textes dactyl. et notes de Lucien Scheler.

Ensemble de journaux et coupures de presse concernant Paul Éluard.

72.

Georges Faillet, dit FAGUS

(1872-1933) poète. Manuscrit autographe signé, [

La Prière de Quarante Heures,

ou les XIV Stations sous l’Horloge du Destin

, 1920] ; 24 pages in-fol.

400/500

Important manuscrit poétique, mis au net avec quelques ratures et corrections, ayant servi pour l’impression. Cet ensemble

de 18 poèmes a été publié une première fois en 1920 aux éditions Gallus, présenté alors comme « fragment de

La Guirlande à

l’épousée

». Un extrait d’une chanson de noce vendéenne est placé en exergue : « Vous voilà donc enfin / Madam’ la mariée /

Vous voilà donc enfin / À votre époux liée / Avec un long fil d’or / Qui ne rompt qu’à la mort ». Suivent :

La Gloire

,

Les Transes

,

Les Litanies

,

Les XIV Stations

(suite de 14 poèmes), et un poème final : « O mon fils ! de ce nom j’ose encor te nommer »…