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La correspondance renferme également une célèbre et amusante déclaration autographe signée
du 17 mai 1888 :
Maupassant s’y engage à ne jamais se présenter à l’Académie française. (1 page grand in-8, avec
timbre fiscal.)
Une lettre adressée par Maupassant à un médecin – sans doute au Dr Landolt – est également comprise dans
l'ensemble : elle concerne une consultation prochaine pour les yeux, “un peu malades” de la comtesse Potocka.
On joint une pièce autographe de Maupassant, un portrait photographique dédicacé à la comtesse
Potocka ainsi qu’un document manuscrit d’une autre main :
- Note autographe donnant la recette improbable de l'“Elixir Pasteur”, inspirée par les expériences sur la rage de
Pasteur, “méthode par laquelle tout accident a été évité pendant le dernier congrès”, en référence au congrès de
Berlin de février 1885 entérinant le partage de l'Afrique entre les pays coloniaux (Sans lieu ni date [début avril ?
1885]. 1 page ¾ petit in-12).
- Portrait photographique de l’écrivain en pied, réalisé par Achille Mélandri, hydropathe et voisin de Maupassant
au 19 rue Clauzel. Sans date [1883]. Épreuve montée sur carton.
Envoi autographe signé “
a Madame la Comtesse Potocka, son respectueux ami, Guy de Maupassant
”.
- CARO.
Requête à la Patronne des Machabées
[sic] ; pièce autographe du philosophe Elme-Marie Caro, un
des plus assidus prétendants de la comtesse Potocka (1 page in-12) : convocation extraordinaire du Club
des Macchabées qui réunissait les proches de la comtesse autour de dîners extravagants dont les convives
représentaient chacun un mort d'amour pour elle.
L’ensemble de ces documents provient des archives de la comtesse Potocka, dispersées en 1993. Ils ont été
publiés par Marlo Johnston dans la revue
Histoires littéraires
en 2009.
40 000 / 60 000
€