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111

Apparaissent successivement la Feuille, la Plume (air,

Valse

: « Je suis la plume »…), le Crayon, les Appareils de photo

(

Chanson des Appareils de Photo

: « Mon gros œil vous guette »…), la Sirène (air,

Mvt de Blues

: « Petite photo de métal »…),

le Cliché, les Lettres de l’Alphabet, la Chanteuse (air : « Amour sur la feuille »…), la Machine Rapide (« montage du bruit

de la Machine Rapide »), la Machine Lente (

Barcarolle

: « cent fois sur le métier »…), la Reliure (air : « D’abord la sobre

élégance »…), le Fer à dorer…, avant le Chœur final.

Le manuscrit, pour solistes, chœurs et piano, à l’encre noire sur papier calque Maestro à 20 lignes, compte 720 mesures ; il

est signé en fin et daté : « Mills 9 nov / Sion 11 Dec 1956 (environ 29 minutes) ».

Discographie : Simone Renant, Léo Marjane, Janine Collard, Claudine Collart, Raymond Amade, Jean Giraudeau, Xavier

Depraz, Chorale Yvonne Gouverné, Orchestre des Concerts Colonne, dir. Pierre-Michel Le Conte (Vega 1958, Forlane 2014).

262.

Darius MILHAUD

.

Pacem in Terris. Symphonie chorale pour Contralto, Baryton, Chœur mixte et Orchestre

.

Texte latin extrait de l’Encyclique du 11 avril 1963 de Jean XXIII. (Paris, Salabert, 1963) ; petit in-folio, broché,

76 pp.

250/300

Édition originale de la partition réduite pour piano et chant, sur un argument de Michel de Bry. Envoi autographe signé « à

Suzanne et Roland-Manuel, leur vieil ami. Milhaud ». Bel état. L’œuvre a été créée me 20 décembre 1963 pour l’inauguration

du grand Auditorium de la Maison de la Radio.

On joint du même :

La Sagesse, oratorio pour chœur et piano

sur un livret de Paul Claudel. (Paris, [Salabert], 1935) ; petit

in-folio, broché, 73 pp. Rare fac-simile du manuscrit autographe de la partition de Milhaud, un des 15 exemplaires de luxe sur

Hollande des Papeteries Manoury (n°3), couverture abîmée.

263.

MUSIQUE

. Environ 70 lettres ou pièces, la plupart L.A.S.

400/500

Adolphe Adam (2), Berthe Auguez de Montalant, Joseph Bablon (3), Alexandre Batta (3 au peintre Giacomelli), Roberto

Benzi (2), René Berthelot (avec copie du

Duo de la Table

de Mozart), Gaetano Braga, Albert Cahen (7 à Louis Gallet), Gaston

Carraud (à Willy), Camille Chevillard (2), Nicolas Dalayrac, Charles Dancla (3), Félicien David (7), Marcel Delannoy,

Louis Diémer (4), Théodore Dubois, Mary Garden (7 à Berthe Catteau et un télégramme), Auguste de Gasperini (4), Eugène

Gautier (2), Bernard Gavoty, Alexandre Georges, Jean Gounod, Olivier Halanzier (2), Lucien Hillemacher (9, une avec

musique), Paul Hillemacher (3), Georges Hüe, Paul marquis d’Ivry, Joseph Kosma.

264.

MUSIQUE

. Environ 55 lettres ou pièces, la plupart L.A.S.

300/400

Théodore de Lajarte (3), Pierre Lalo, René Lenormand, Raymond Loucheur, Georges Migot (7 à Magdeleine Greslé),

Teresa Milanollo Mme Parmentier, Edmond Missa, Jules Mouquet, Adolphe Nourrit (4), Robert Oboussier, Auguste

Jacques Offenbach (3), Émile Paladilhe (9), Carlotta Patti, Jean Périer (2), Marc Pincherle, Francis Planté (7), Henriette

Rénié (2), Laurent de Rillé, Gustave Samazeuilh, Théophile Semet, Giulietta Simoniato (photo signée), Antonio Tamburini

(page d’album musicale), Elvire Ambroise Thomas, Julien Tiersot (ms musical de chanson), Eugène Vivier, Willy, Maurice

Yvain.

265.

Joaquin NIN

(1879-1949). Manuscrit musical autographe signé,

Chant élégiaque

(vocalise), pour chant et

orchestre

, 1930 ; titre et 10 pages in-fol. (petite fente réparée au 1

er

feuillet).

600/800

Partition d’orchestre de cette vocalise pour voix et orchestre, en ré bémol majeur à 6/8, marquée

Lento giusto e con

espressione lugubre

; l’œuvre compte 51 mesures. L’effectif orchestral comprend 2 hautbois, 2 clarinettes, 2 bassons, 2 cors en

fa, harpe, violons I et II, altos, violoncelles, contrebasses. Le manuscrit est à l’encre bleu sombre sur papier à 20 lignes.

Joaquin Nin, pianiste et compositeur cubain, est le père de l’écrivain Anaïs Nin.

266.

Adolphe NOURRIT

(1802-1839) ténor. 3 L.A.S., 1829-1838 ; 1 page in-4 ou in-8 chaque, adresses.

300/400

Rouen 13 septembre 1829

, à M. Eugène, régisseur du théâtre au Havre. Il peut assurer M. Tenar qu’il arrivera le soir du 21 :

« j’ai gardé un souvenir trop agréable de l’accueil que j’ai reçu du public & de Messieurs les artistes du Havre pour ne pas désirer

les revoir le plutôt possible. [...] il n’est point de raison au monde qui puisse m’empêcher de remplir les engagements que j’ai

signés »...

[Paris] vendredi

, à Henri Duponchel, directeur de l’Opéra. « Ma femme voudrait bien voir

Le Comte Ory

ce soir ;

mais il lui est difficile de monter les escaliers & je viens vous demander s’il ne vous serait pas possible de lui donner une loge

de rez-de-chaussée »...

Naples 1

er

mai 1838

, à Édouard Robert, directeur du Théâtre Royal Italien, présentant M. Capecelatio,

« amateur distingué dont tout Naples applaudit les compositions musicales ; j’ai eu l’avantage d’entendre quelques fragmens

d’un opéra qu’il écrit dans ce moment & j’ai pu prendre une haute idée de son talent. Il vient à Paris pour entendre la bonne

musique qu’on y fait & pour juger des meilleures productions de l’art »...

267.

Jacques OFFENBACH

(1819-1880). L.A.S., Dimanche, à Joseph Autran ; 1 page in-8, adresse (petit deuil).

400/500

« Mardi soir – veille de notre départ – jour de notre arrivé de Toulon, à l’heure où les ombres ne sortent pas encore – sortez

de votre demeure – passez Boulevard Dugommier 16 – où vous serez parfaitement reçu,

et où

vous aurez le bonheur d’entendre

un peu de musique –

Pauvre homme 

!! Nous comptons sur vous »... On joint une enveloppe autogr. au même.