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125

121. RELIURES AU CHIFFRE DE MARIE-LOUISE.

– BERNARDIN DE SAINT-PIERRE (Henri).

Œuvres complètes.

À Paris, chez Méquignon-Marvis, 1818. 12 volumes in-8, demi-maroquin

grenat, dos lisses ornés de motifs et lets à froid et dorés, plats de papier rouge ornés d’une étroite

frise dorée avec chiffre couronné «

LM

» au centre, tranches marbrées, menus défauts, quelques

piqûres (

reliure de l’époque

).

15 000 / 20 000

Édition établie par le secrétaire de Bernardin de Saint-Pierre, Louis Aimé-Martin.

I

LLUSTRATION GRAVÉE

SUR

CUIVRE

:

28 planches hors texte, dont un portrait-frontispice et une carte dépliante,

d’après plusieurs artistes dont Desenne, Girodet, Isabey ou Moreau le Jeune.

T

RÈS

BEL

EXEMPLAIRE AU CHIFFRE DE

L

IMPÉRATRICE

M

ARIE

-L

OUISE

(fer non répertorié par OHR).

Ex-libris manuscrit à l’encre sur une des premières gardes du volume VI.

122. RICHEPIN (

Jean).

La Chanson des gueux.

Paris, Éditions d’art Édouard Pelletan, 1910. In-4,

(10 dont les 4 premiers blancs)-366-(4 dont les 3 dernières blanches) pp., prospectus illustré de

l’éditeur (8 pp.), maroquin marron, dos à nerfs, coupes letées, doublure de maroquin grenat

letée, doubles gardes de moire grenat et de papier marbré, tranches dorées, couvertures et dos

conservés, étui bordé, dos passé (

Bernasconi & Goix

).

200 / 300

Édition tirée à 340 exemplaires numérotés, celui-ci un des 267 sur vélin à la cuve du Marais justi é par l’éditeur.

T

RÈS NOMBREUSES COMPOSITIONS DANS

LE

TEXTE D

APRÈS

S

TEINLEN

.

R

ELIÉ

À

LA

SUITE

,

DU

MÊME

:

D

ERNIÈRES

CHANSONS

DE

MON

PREMIER

LIVRE

.

Ibid.

In-4, (6 dont les 4 premières

blanches)-34-(2 dont la dernière blanche) pp., prospectus de l’éditeur (4 pp., en pagination continuant la

plaquette).

Édition tirée à 330 exemplaires numérotés, celui-ci un des 240 sur vélin à la cuve du Marais justi é par

l’éditeur. Recueil de pièces de vers de même inspiration que celles de

La Chanson des gueux

.

I

LLUSTRATION D

APRÈS

S

TEINLEN

:

portrait-fontispice et nombreuses compositions dans le texte d’après Steinlen.

n° 121