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non seulement par leur versi�cation très sûre, mais aussi par l'étonnante variété des suj ets
qu'elles traitent" (J ohn G. Lapp).
Albert-Marie Schmidt a loué la "prosodie et pensée sans fautes" de ces poèmes "d'un ton plus
hautain que les chansons �ûtées de l'école marotique", la richesse et la promptitude des images
et des concepts ne faisant j amais obstacle à l'ordonnance rigoureuse des vers. "Rien de plus
propre, de plus pertinent, de plus achevé que ses odes, tour à tour glorieuses, méditatives,
transportées, amoureuses, funèbres, pittoresques".
Suivent, en édition originale, les
: des sonnets, chansons et odes galantes
composés pour Claude-Catherine de Retz et par lesquels Pontus réactive le pétraquisme de sa
j eunesse. L'auteur y a j oint une remarquable "Élégie à Pierre de Ronsard". En�n, une pièce
en latin "De coelestibus asterismis", aussi dédiée à Ronsard, est insérée entre les
et les
. Pourvue d'un titre et de signatures particuliers, elle ferait partie intégrante
du volume (a�rmation de L. Scheler contredite parJ .P. Barbier-Mueller).
, publié pour la première fois en 1558 à Lyon chezJ . de Tournes et G. Gazeau,
présente un texte corrigé de cette critique des impostures astrologiques.
(Lyon,J . de Tournes, 1552), qui achève le recueil, est un traité néoplatonicien de la "fureur
poétique".Avec sa continuation publiée en 1555, ce texte théorique marque une pause dans
l'activité poétique de Pontus de Tyard : elle durera près de vingt ans.
Bien que ces deux ouvrages accompagnent "presque touj ours" les
de 1573,
plusieurs exemplaires en sont dépourvus ou en comportent un seul. "Si l'on recense les
Nouvelles œuvres p oétiques
Œuvres
Nouvelles œuvres
Mantice
Solitaire Premier
Œuvres p oétiques
Les deux ouvrages en prose reliés à la suite des poèmes témoignent de l'étendue et de la
pertinence des intérêts intellectuels de Pontus de Tyard.