Previous Page  119 / 360 Next Page
Information
Show Menu
Previous Page 119 / 360 Next Page
Page Background

117

88

BALZAC (Honoré de).

Les Deux Frères.

Paris, Hippolyte Souverain, 1842.

2 volumes in-8 [219 x 126 mm] de (2) ff., 372 pp. ; 380 pp. : demi-basane vieux rose, dos lisses

filetés or

(reliure moderne).

Édition originale.

L’ouvrage, dédié à Charles Nodier, ami et protecteur de Balzac, deviendra

Un ménage de garçon

dans

La Comédie humaine

(1843), avant d’adopter son titre définitif :

La Rabouilleuse.

Balzac

y a peint, sous les traits de Joseph Bridau et de son frère Philippe, Eugène Delacroix et le frère

de celui-ci.

Exemplaire en modeste reliure moderne. Cachet répété. Manques de papier dans les marges

des pages 269 à 276 du tome II, sans atteinte au texte.

(Berès,

Exposition Balzac,

1949, nº 369.- Bibliothèque nationale,

Honoré de Balzac,

1950,

nº 626 : “Édition originale publiée en 1843 mais datée 1842.”)

600 / 800

89

BALZAC (Honoré de).

Mémoires de deux jeunes mariés.

Paris, H. Souverain, 1842.

2 volumes in-8 [214 x 134 mm] de 355 pp. ; (2) ff., 325 pp. : demi-maroquin tabac à grain long

avec coins, dos lisses ornés en long d’un décor rocaille doré avec listels de maroquin aubergine

mosaïqués, non rogné, tête dorée, couvertures imprimées de papier jaune et dos conservés

(reliure moderne).

Édition originale, dédiée à George Sand.

“Ce roman où Balzac a voulu peindre le bonheur auquel il aspirait et où il a décrit sa maison

des Jardies, passe pour avoir été composé avec l’aide de la comtesse Guidoboni-Visconti (Sarah

Lovell) avec qui Balzac fut très lié depuis 1836 […]. Le livre aurait été remanié par Balzac en

désaccord avec sa collaboratrice” (Berès,

Exposition Balzac,

1949, nº 378).

Exemplaire à toutes marges, lavé et relié de neuf. Il est complet des fragiles

couvertures imprimées sur papier jaune.

Angles des couvertures restaurés et petite déchirure dans la marge inférieure de la page 141 du

tome II, sans perte de papier.

(Bibliothèque nationale,

Honoré de Balzac,

1950, nº 616 : “La correspondance échangée entre

les deux amies a peut-être été influencée par la correspondance de Balzac avec la comtesse

Guibodoni-Visconti.”)

1 000 / 1 500