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GROS & DELETTREZ

- LIVRES, MANUSCRITS & PHOTOGRAPHIES ORIENTALISTES -

2 DÉCEMBRE 2015

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LYON (Georges Francis)

. Voyage dans l'intérieur

de l'Afrique septentrionale, en 1818, 1819 et 1820.

Gide Fils, 1822. In-8 demi-chagrin bordeaux,

dos à 4 nerfs. Traduction française par L. Gautier,

illustrée d'une grande carte dépliante et de 4 planches

lithographiées en couleurs. Mouillures marge

inférieure aux premiers cahiers. (Playfair Part I-147).

500 / 800 €

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MARCAIS (Georges) & POINSSOT (Louis

).

Objets kairouanais, IXe au XIIe siècle. Reliures,

verreries, cuivres, bronzes et bijoux. Tunis et Paris,

Tournier et Vuibert, 1948-

1952. 2 volumes in-4 pleine percaline, couv. remontées

sur les plats, 586 pp. avec 59 planches hors-texte et

133 figures in-texte, broché, avec le concours de Lucien

Gaillard. Direction des Antiquités et Arts , XI. (Creswell

522).

800 / 1 000 €

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LE CHEIKH ADMIRABLE

MASSIGNON (Louis

).

Al-Hallâj martyr mystique

de l'islam exécuté à Baghdad le 20 mars 922. Etude

d'histoire religieuse. Paris, P. Geuthner 1922. 2 vol.

in-8 pleine toile beige, avec 28 reproductions hors

texte et un index. Rare édition originale.

Joint du même : Recueil de textes inédits concernant

l'histoire de la mystique en pays d'islam réunis,

classés et annotés. Paris, 1929; in-8 br, vii-259p.

400 / 500 €

Ce grand oeuvre reste l'un des plus hauts témoignages du

renouveau des études islamiques du début du XXe siècle en

France.

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MONOGRAPHIE DU PALACE ISHRAQ KHAN

MASSON (Mikhaïl Evgenevich éditeur).

Mavsolei

Ishratkhana, monografichesky sbornik. (monographie

du Mausolée de Ishrat Khana de Samarkand).

Tashkend 1958. In-4 cartonnage à décor de l'éditeur,

167 p. avec 45 illustrations dans le texte et à pleine

page et 20 planches in-fine dont 9 en couleurs et 9

repliées. (Creswell suppl. I-76).

300 / 500 €

Le Mausolée Ishrat Khana à Samarkand, qui n'avait pas

été restauré, date du XVe siècle. Mausolée des femmes et

des enfants de la dynastie timouride il a été construit pour

Habiba sultan Beghim, femme du sultan Abu Saïd. Son nom

qui se traduit par maison de la joie lui aurait été donné en

raison de ses décors somptueux aujourd'hui disparus. Suite au

tremblement de terre de 1897 et 1903 son dôme central bleu

s'est écroulé

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