77
Les deux dernières pages (numérotées 15 et 16) comportent la fin du poème de la main de Cendrars, 13 vers,
(qui occupent la page 15 de l’édition), et se terminent par la date du poème
New York, avril 1912.
(Dans
l’édition, le poème est situé et daté
New York, 1912
).
Mon plus ancien copain des Lettres
, ainsi Cendrars définissait-il l’écrivain et voyageur Albert t’Serstevens
(1885-1974), qu’il connut dès 1913 et avec qui il resta lié toute sa vie. Sur Cendrars, t’Serstevens a laissé un
livre de souvenirs très évocateur :
L’Homme que fut Blaise Cendrars
(1972).