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exercent dans le pays une part d’autorité »...
23 octobre 1937
. Proposition d’un de leurs anciens du 201
e
pour une récompense :
caporal, volontaire pour la section franche, blessé...
4 janvier 1947
. « J’aime votre optimisme qui sait discerner au milieu des
difficultés présentes où la France se débat les grandes raisons d’espérer qui demeurent en elle »...
6 mai 1947
. Il a fait suivre
au Dr Aujoulat, député du Cameroun, ses questions concernant les besoins des populations de ce « Territoire »...
6 mars
1948
.
Même si son invitation était arrivée à temps, « je crois qu’une rencontre de ce genre avec un homme politique aussi marquant
que Monsieur Paul Reynaud aurait l’inconvénient de paraître entraîner un peu l’Église, en ma personne, sur le terrain des
compétitions politiques auxquelles elle entend rester étrangère »...
6 octobre
. Explications sur son adhésion au Comité pour
la libération du maréchal Pétain, et expression de la fidélité inaltérable qu’il porte au Chef et à l’Ami Mougin...
24 novembre
1955
. Condoléances, avec expression de reconnaissance pour tout ce que Mougin « avait fait pour moi et pour ses soldats »... Etc.
On joint un état dactylographié de ses services comme aumônier militaire ; le texte dactylographié du discours de Liénart au
mariage de Josée Mougin, avec hommage à son père le général (1936) ; des coupures de presse, et la copie d’une lettre d’excuses
de Paul Lévy à Mougin, relative à l’article incriminé d’
Aux écoutes
.
317.
Anne-Charles LORRY
(1726-1783) médecin. L.S., Paris 18 novembre 1767, à son confrère M. Marteau ; 3 pages
in-4 (mouillures, taches et salissures).
400/500
Diagnostic médical à propos d’un cas d’hystérie idiopathique. « Une jeune demoiselle a eu à la suite d’une frayeur
plusieurs attaques d’épilepsie. Elle n’étoit pas bien réglée. Il est naturel de présumer que les règles reprenant l’ordre de la nature,
la malade pouvoit être quitte d’accès qui souvent se confondent avec l’affection hystérique, et qui d’ailleurs peuvent souvent
dépendre de l’irritation de la matrice, et de la sensibilité de ce viscère qui lui donne une correspondance effrayante avec tous
les nerfs. Mais l’art et la nature ont rétabli les règles, et le mal subsiste. Quoique la frayeur ait été la cause occasionnelle de
la maladie, ne peut-on pas dire, ou qu’elle a dévelopé ou qu’elle a formé une disposition mechanique, dans les parties, qui les
rend actuellement susceptibles d’ébranlement à la moindre cause et souvent au dessus des ressources de l’art. […] De toutes
les méthodes rationnelles celle qui ressort le plus communément dans les maladies du cerveau est celle ou en baignant les pieds
dans l’eau tiède on douche fortement la tête du malade avec de l’eau froide, rien n’étant plus capable de fortifier les vaisseaux et
les nerfs »... Il évoque la réussite de quelques autres remèdes empiriques en Angleterre et en Allemagne...
On joint 1 P.A.S. par Georges Mareschal, premier chirurgien du roi (Versailles 28 décembre 1727).
318.
LOUIS XIII
(1601-1643). L.S. « Louis » (secrétaire), contresignée par Nicolas Potier, au camp devant La Rochelle
15 décembre 1627, à Charles-Jacques de Léberon, évêque de Valence et Die ; 2 pages in-fol., adresse.
300/400
Intéressant document historique du siège de La Rochelle, alors principal bastion des protestants.
Le Roi insiste sur l’importance pour tout le royaume de ce siège « pour reduire notre ville de La Rochelle en l’obeissance
quelle nous doibt », qu’il ne cessera qu’après son heureux succès. Mais pour soutenir « la grande et incroyable despence quil
fault », le Roi demande l’aide du Clergé de son Royaume, dont il tirera de grands avantages, une tranquillité plus assurée, lui
permettant d’accroître leurs biens et revenus et « reparer les ruines que les desordres publicqs leur ont causé » ; il a donc ordonné
une assemblée extraordinaire du Clergé, pour laquelle l’évêque doit désigner deux députés destinés à voter à Poitiers des aides
au Roi, pour faire face aux dépenses de la guerre qu’il est en train de mener, et dont l’Église sera la première bénéficiaire...