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- DUTILLEUX (Henri).

5 lettres dont 4 autographes signées et une tapuscrite paraphée.

Sans

dates et 1952.

«

En songeant aux moments heureux de 1951, je pense à cette date du 7 juin et au magnifique travail que

tu as fait sur ma symphonie. Les disques que je me passe de temps en temps m’en apportent le témoignage

 ».

(Sans date « mercredi »).

«

Mon cher Déso, tu es vraiment chic d’avoir proposé ma symphonie à la B.B.C. pour ton concert d »’avril.

J’en suis plus touché encore après l’incident que tu sais.

[…]

Je te souhaite un bon séjour à Rome

 ». (Paris,

24 février 1952).

- MALIPIERO (Gian Francesco).

4 lettres autographes signées.

Trévise, Venise et s.l., 1950-1952.

Blessé par les réactions face à sa

Simfonia in un Tempo

, il demande de l’aide à son ami et fustige l’Italie,

sa patrie, où l’on critique ses travaux « 

L’Italie, où en ce moment on veut me noyer dans l’eau bénite

 ».

Il mentionne son œuvre

Torneo notturno

et ses concerti dirigés par Désormière.

- CHANTAL (Marcelle).

2 lettres autographes signées

« Marcelle Chantal » ou « Marcelle Cohen »

.

Sans lieu ni date.

La cantatrice regrette de ne pouvoir chanter sous sa direction le Martyre de Saint-Sébastien, étant déjà

engagée à l’Alhambra.

- CIRY (Michel).

2 lettres autographes signées.

Chatou, 1949 et 1952.

Le compositeur soumet par deux fois son travail au maître, espérant des commentaires et des conseils.

- DELAGE (Maurice).

2 lettres autographes signées.

Saint-Jean-de-Luz, 1950.

À propos de son œuvre

In morte di un Samouraï

, que Désormière dirigera avec l’Orchestre National

de France, le 1

er

février 1951 : « 

J’espère que d’avoir été applaudi dans toutes les langues d’Europe ne vous

fait pas oublier que vous devez diriger mon petit chef d’œuvre de Calligraphie

 ». (25 octobre 1950).

- GAUBERT (Philippe).

Lettre autographe signée.

[Paris], 11 décembre 1930.

« 

J’écris à Maugeret que le programme (avec deux œuvres d’orchestre de moi plus la Vie du Poète et la 5

me

)

serait beaucoup trop long ! Une grande ouverture au début suffirait. Manfred ou Léonore par exemple

 ».

- WEINGARTNER (Félix).

6 lettres autographes signées.

1931.

Le compositeur et chef d’orchestre autrichien remercie longuement Désormière d’avoir essayé de lui

faire obtenir la Légion d’honneur et lui explique pourquoi il la refuserait. Il évoque leurs répétitions

et son séjour parisien « 

ces quatre jours à Paris étaient inoubliables, non seulement de la vue artistique,

mais en générale, de tous cotés. C’était une élévation des cœurs humains pour la paix et une manifestation

grandiose contre les jalousies et les petitesses

. » (Bâle, 20 avril 1931). Déchirures sans manques à certaines

lettres.

- WIENER (Jean).

2 lettres autographes signées.

Sans lieu, 18 février 1950 et 12 novembre 1951.

Au sujet de Paul Arma : Wiener suggère une réunion des Musiciens Progressistes pour statuer sur son

cas. Dans le second courrier, Wiener, évincé de la liste des Musiciens Progressistes Français par ses

confrères, explique à Désormière sa peine et sa vexation « 

je suis un musicien communiste ce qui est ma

seule fierté

 ».

- SAGUER (Louis).

Lettre autographe signée.

Tarascon, 18 octobre 1949. 4 pp. grand in-folio.

- BETHMANN HOLLWEG (Félix von).

2 lettres tapuscrites avec signatures autographes.

Altenhof, 1948.

- PIERNÉ (Gabriel).

3 lettres autographes signées.

Paris et Plougastel, 1920-1930.

- CHARPENTIER (Gabriel).

Lettre tapuscrite signée.

Paris, 7 février 1951. 2 pp. in-12 oblong.

Belle et touchante déclaration d’admiration.

- GARDEN (Mary).

Lettre autographe signée.

Sans lieu ni date [1941].

À propos d’une répétition de

Pelléas et Mélisande

de Debussy, dirigé par Désormière.

- HENRY (Maurice).

Lettre autographe et une pièce autographe.

Paris, 15 octobre 1942.

- JEANSON (Henri).

Lettre tapuscrite signée.

Paris, 1

er

octobre 1948.

- MIGOT (Georges).

Lettre autographe signée.

Sans lieu ni date « vendredi ».

- ROPARTZ (Guy).

Lettre autographe signée.

29 septembre 1950.

Invité à participer à l’enregistrement d’une symphonie, et prévenu par Lamy, il ne pourra participer, en

raison de son âge avancé. Il évoque ensuite ses œuvres : son

Requiem

et sa 2

e

symphonie.

On joint 4 lettres autographes signées dont trois signées d’un certain « Chip ». 1949-1950.

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