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14. PAPART
(Max). Correspondance de 17 lettres autographes signées, dont 2 illustrées de dessins
originaux. Paris, sauf une de Marseille, 1951-1953. Le tout placé dans un portefeuille toilé avec
pièce de titre sur le premier plat.
200 / 300 €
Le peintre et graveur évoque ses toiles (en cours, exposées ou vendues), ses eaux-fortes, ses livres illustrés
en projet (Giono, Jouhandeau, avec commentaires sur les textes de celui-ci) ou réalisés (Sur les femmes de
Diderot, ses essais de gravure, ses choix concernant le papier, la typographie, les ornements divers, les
emboîtages, les aquarelles ajoutées aux exemplaires de tête), ses changements d’ateliers, ses expositions,
etc. : «
...
V
OUS
SAVEZ QUE
LA
GRAVURE
N
’
EST
PAS
ENCORE
POUR MOI
L
’
ACTIVITÉ
DE
BASE
, ce qui me permet d’y prendre
tout mon temps sans me bousculer et que
C
’
EST
SURTOUT
UN
PLAISIR
. J’ai fort à faire en peinture, il est vrai, mais
ma passion pour le trait reste aussi vive...
» (Paris, 17 décembre 1951). – «
... Je suis très heureux que vous ayez
été sensible à cette toile qui ne rencontrait guère qu’incompréhension. Cela compte plus pour moi qu’une réussite
matérielle. Enfin, je m’exprime difficilement, mais je veux dire que si vous pouvez la voir et la sentir, alors, pour moi,
le but est atteint tout au moins cette fois là. Le reste...
» (Paris, 30 novembre 1952). – Etc.
Le premier dessin représente un paysage vu d’une fenêtre devant laquelle est posée une lampe (encre et
plume, 6 x 6 cm). Le second dessin original est signé et représente un paysage (sanguine, 9 x 17 cm).
n°12