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229 [MANUSCRIT]. [Chœurs des offices religieux. S.l.n.d. (XVIII
e
siècle)]. Petit in-4 oblong, galuchat noir, double filet
doré, chiffre au centre, dos orné, traces de fermoir en laiton, tranches rouges (
Reliure de l’époque
)
.
300 / 400
Manuscrit liturgique entièrement copié à l’encre rouge et brune, avec la musique notée sur
194
pp. (six portées par
page).
Une page de
table des offices contenües en ce livre
ouvre le volume, terminée par cette mention, en rouge :
Priez Dieu
pour celle qui la fait
[sic]. Au verso du feuillet figure un ex-libris manuscrit maculé, suivi de la mention :
Ce livre et
du chœur de la maison professe
[sic].
Reliure du temps en galuchat noir au chiffre c. m.
Le premier feuillet paraît manquer. Reliure usagée, manques aux fermoirs, taches en tête des sept premiers feuillets.
230 [MANUSCRIT]. BERTHOD (Claude, dit Dom Anselme)]. Table des testaments qui sont dans les archives de
l’officialité de Besançon du XIII
e
au XVI
e
siècle. [Précédé de :] Discours préliminaire sur une table raisonnée des
Testamens conservés dans les archives de l’officialité de Besançon. S.l.n.d. [Seconde moitié du XVIII
e
siècle]. Manuscrit
de [278] ff. In-folio, veau marbré, dos orné, roulette sur les coupes (
Reliure de l’époque
)
.
3 000 / 4 000
Important manuscrit relatif aux archives testamentaires de l’officialité de Besançon, qui avaient été inventoriées
par l’abbé Guillaume au milieu du XVIII
e
siècle.
Le volume renferme la table de ces archives établie par Dom Berthod (
1733
-
1788
), bibliothécaire bénédictin à Besançon,
précédée d’un
Discours préliminaire
et d’un
Avertissement
.
Cette table cite plusieurs milliers de familles nobles et bourgeoises de Franche-Comté. Elle est divisée en trois
parties présentant les testaments par ordre chronologique et par ordre alphabétique des patronymes cités dans l’inventaire ;
la troisième est une liste des citoyens de Besançon du XIII
e
au XVI
e
siècle.
« Depuis le milieu du XIII
e
siècle [...], écrit Ulysse Robert, les membres de la plupart des familles nobles et bourgeoises
de la Franche-Comté avaient pris l’habitude ou de passer leurs testaments en présence de l’official de Besançon [...], ou
de les faire déposer aux archives de l’officialité. Cet usage fut suivi jusqu’au commencement du XVIII
e
siècle. »