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les collections aristophil
20 septembre 1909, avec cet envoi à Pierre Mortier
: « Dear, dear
Pierre, voilà une petite machine qui n’est pas d’actualité parce qu’elle
est éternelle et que je vous envoie pour Comœdia parce que je
l’aime beaucoup. Jean
»)
;
Les critiques ou l’erreur possible
(signé)
;
Les mauvais bohèmes
;
Le chien Japonais
;
Rondel du typographe
(signé, et précédé de 2 billets en vers à Pierre Mortier au sujet des
coquilles des typographes).
Enfin, une L.A.S. «
Jean
», où Cocteau demande à Pierre Mortier,
«
comme un service unique
», de corriger de sa main les épreuves
pour éviter les fautes des typographes.
Exemplaire de Pierre MORTIER (1882-1946), dédicataire de l’un des
poèmes, avec ses initiales portées au dos de la reliure. Pierre Mortier
collaborait à
Comœdia
, où plusieurs de ces poèmes furent publiés.
Il fut le directeur du quotidien
Gil Blas
.
Le manuscrit du
Prince frivole
était réputé perdu
: «
Le manuscrit
original de la main de Cocteau manque
» (Œuvres poétiques complètes,
Bible de la Pléiade, p.
1842).
Si Marcel Proust a salué en l’auteur du
Prince Frivole
un «
Banville
de vingt ans qu’attendent de plus hautes destinées
», Cocteau reniera
ses trois premiers recueils, allant jusqu’à interdire leur réédition.