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180. Jean-Gabriel DARAGNES, lettre autographe

signée à

“Monsieur TIXIER-VIGNANCOUR,

avocat à la cour d’appel”, du 16 (sic) décembre

1949 :

Mon cher Maître, en qualité d’ami du

Docteur Destouches dit Louis Ferdinand

CÉLINE je vous donne mission de présenter à

la Cour de justice son excuse et de plaider

celle-ci conformément à l’article 468 du Code

d’instruction criminelle. Veuillez agréer mon

cher Maître l’assurance de ma considération

distinguée. Une page in-12.

200/250

Voir la reproduction

181. Jean-Louis TIXIER VIGNANCOUR et Albert

NAUD,

avocats de L-F CÉLINE,

conclusions

pour Monsieur DARAIGNEZ

(sic)

,

ami du

Docteur Destouches, contre le Ministère Public,

A Messieurs les Président et Jurés composant la

Cour de Justice de la Seine, un feuillet dactylo-

graphié recto-verso signé par les deux avocats,

double carbone des conclusions déposées à l’au-

dience du 15 décembre 1949 demandant à la Cour

de

Dire et juger que l’article 468 du Code d’ins-

truction criminelle est applicable aux Cours de

Justice : Admettre l’excuse présentée par le

concluant

. Sur cette audience, cf F. Gibault,

Céline III précité, p 219 et suivantes.

250/300

Voir la reproduction page 47

— 42 —

179

180

179. André COEUROY.

Lettre manuscrite signée par

Céline et adressée à Jean BELIME dit André

COEUROY qui fonda la Revue musicale avec

Henry PRUNIERE. Il dirigea la section musicale de

la Société des Nations où il rencontra Céline.

Curieux de tout il fut l’un des premiers en France à

s’interessé au Jazz et au disque et à la radio. Celine

dans cette lettre le remercie de lui avoir adressé son

dernier livre sur le peuple et la musique ;

« en le

parcourant je vois déjà que vous touchez au grand

secret… Donnez moi le droit de faire les chansons

du peuple ? Je serais bien au-dessus de celui qui

fait les lois ! »

Une page in-12.

700/800

Voir la reproduction