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17 [BOUCHERIE]. Mémoire concernant le commerce
de la viande de boucherie, par un magistrat du
Parlement de Dauphiné.
Grenoble, Faure, s.d (1770).
In-12, demi-veau fauve, dos lisse très orné de
fleurons et palettes dorées, pièce de maroquin rouge
(
reliure de l’époque
) - 125 p.
500 / 600
TANRET (Georges).
Contribution à l’étude de la
Gentiane.
Paris, Baillière,
1905
. Grand in-
8
bradel,
percaline or, couverture conservée (
176
p.). Édition
originale. Emploi en Corse contre le paludisme.
JAVILLIER (Maurice).
Contribution à l’étude la
Présure chez les végétaux.
Paris, Joanin
1903
. Grand
in-
8
, bradel percaline or, pièce verte, couverture
conservée (
110
p.). Consacrée aux caille-laits
(chardon, artichaut, figues, champignons...).
GUILLARD (F.).
Les Piments des Solanées, étude
historique et botanique.
Lons-Le-Saunier, Declume
1901
. Grand in-
8
, bradel toile rouge, pièce verte,
couverture conservée (
3
f. -
123
p.). Édition
originale sur les Capsicums.
25
figures et une
planche en couleurs.
Ensemble de
5
thèses fondamentales et rares.
15 [BOUCHERIE]. Arrest du Conseil d’Estat du Roy
qui permet aux entrepreneurs de la fourniture de la
viande aux Invalides de faire vendre toute sorte de
viande de boucherie au public.
Paris, Imp. Royale,
1725.
In-4 de 3 pages non rognées, beau bois gravé.
150 / 200
Joint :
Livret d’ouvrier boucher
. In-
12
, couverture
muette ancienne.
6
pages imprimées donnant la
police des manufactures et ateliers (
22
germinal
an XI) au nom de Bonaparte
1
er
Consul.
7
f.
manuscrits établissant les emplois successifs de
J. P. Masius
, ouvrier boucher à Namur du
8
novembre
1832
au
7
juillet
1841
; cachets et signatures (Namur,
Bruxelles, Luxembourg). Type de document
excessivement rare et recherché. Il est curieux de
retrouver utilisés en Belgique en
1841
tous les
arrêtés établis par Bonaparte en Germinal an XI.
16 [BOUCHERIE]. Ensemble de 4 ouvrages en
4 volumes.
80 / 100
Concours d’animaux de boucherie en 1855 à
Bordeaux, Nantes, Nîmes, Lyon, Lille et Poissy
. Paris,
Imprimerie Impériale,
1855
. In-
4
, demi chagrin
fauve, dos à nerfs, tête dorée, couverture et dos
conservés (
227
pages). Nombreuses et belles
lithographies (bœufs, moutons, porcs). Bel
exemplaire.
BAUDIER (Marcel).
Le Commerce du bétail et de la
viande en France
. Charleville, Anciaux,
1914
. Grand
in-
8
broché (
1
f. -
331
p.). Unique édition de cette
thèse d’un grand intérêt : les races, les foires et
marchés aux bestiaux, les abattoirs régionaux et
tueries particulières, l’étal du boucher, la fin des
« réjouissances » (le quart d’os), La Villette, prix de
la viande selon les morceaux ; la viande congelée et
l’industrie frigorifique ont du mal à être acceptées.
PAQUAY (l’abbé Jean).
Les Corporations de Métiers
à Tongres - Le métier des bouchers
. S.l.n.d. In-
8
broché, couverture muette (paginée
17
-
70
).
GOULET (M.).
Manuel de boucherie.
Paris, Baillière,
1925
. Petit in-
12
, percaline et jaquette illustrée de
l’éditeur (
264
p. et publicité). Édition originale.
Unique édition d’un livre inconnu mais de grande
importance dans le domaine de l’économie politique.
Dans presque toutes les villes où les bouchers
formèrent une communauté, la ville de Grenoble le
20
mars
1769
obligea
14
bouchers solidairement à
fournir la ville en viande de boucherie. Bien entendu
cette fourniture à été mauvaise et les prix non
respectés, souvent auprès des pauvres, mais cette
denrée est surtout nourriture de riches. C’est une
erreur de faire régler le montant du prix par des
magistrats, puisque les cours sont essentiellement
variables. Il faut au contraire une liberté du commerce
et une réciprocité des échanges. Les campagnes sont
vouées à la misère et à l’inaction ; au lieu de
rechercher l’amélioration de la culture nous avons
par le défaut de débouché provoqué la disette et la
haine du peuple par une police arbitraire, par le
despotisme le plus oppresseur et le plus désastreux.
« Les bouchers savent se tirer d’affaire sur la qualité,
et vous les avez mis à portée de le faire, puisque par
le privilège de leurs lois, ils sont à l’abri de la
concurrence… vous avez taxé au-dessous du vrai
prix ; il est de toute nécessité que vous soyez mal