Lot n° 231

MAINE-ET-LOIRE. Une quinzaine de documents divers, XVIe-XIXe. - Parchemin de 1568, 23 x 34 cm. …

Estimation : 300 - 400 EUR
Description
MAINE-ET-LOIRE. Une quinzaine de documents divers, XVIe-XIXe. - Parchemin de 1568, 23 x 34 cm. Vente faite à Saint-Quentin-en-Mauges. - Théobald Walsch comte de Serrant (1796-1836), conseiller général de Maine-et-Loire et Pair de France. Lettre autographe à sa mère, la comtesse de Serrant, au château de Serrant à Saint-Georges-sur-Loire (2 pp. in-4). Il prépare son retour au château et donne des instructions pour ses chiens de chasse. - Contestation à propos d'une closerie en partage, Verne présidial d'Angers (cahier de 15 pp. in-folio, 1776). « Prix moyen des grains vendus sur le marché d'Angers, à l'hectolitre, le 9 mai 1829 (1 p. in-12). Imprimé de 8 pp. in-folio : « Réponse pour messire Charles Maurice Dubouzet de Roquepine, abbé commendataire des Abbayes Royales St Nicolas lez Angers […] » (vers 1740). Dispense accordée par l'évêque d'Angers (1751). Lettre du curé de La Chapelle St Florent au rédacteur du Journal de l'Empire (1808). - Grande affiche de l'ancien préfet de Maine-et-Loire « Citoyens du département de Maine et Loire » (Angers, 5 sept. 1849). - Pièce manuscrite, 1 p. ½ in-folio. 3 juillet 1777. Mémoire relatif à la vente des arbres du château d'Angers, particulier de 70 marronniers « parce que les arbres dont il s'agit nuisent à la couverture du château ». - 2 quittances des greniers à sel de Beaufort-en-Vallée (1603) et d'Angers (1622). - lettre du médecin angevin Prévost aîné (Angers an 3), poème attribué à Raugeart archiprêtre d'Angers, autorisation de coupe de bois (Angers, 1765). Lettre de sœur Théotime (en-tête gaufré de la congrégation « la salle de Vihiers » (1882). - intéressante lettre sur le choléra et les incendies à Saumur « 1854 : « le choléra a fait son apparition ici, il est mort deux bourgeois à l'hôpital civil et le lieutenant-colonel de l'école ; il est mort au bout de 9 heures de maladie. On nous a fait suivre un régime, il est défendu de nous vendre des fruits quelconques, de manger de la salade […]. Les incendies se multiplient à Saumur, presque toutes les nuits-jours on nous fait lever au milieu de la nuit pour courir au feu. Hier, pendant le théâtre on a crié au feu, il fallait voir comme l'n déguerpissait, les femmes criaient, on se poussait, on se ruait les uns contre les autres pour sortir. Une maison à côté du théâtre était toute en feu […] ».
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