CONAN HÔTEL D'AINAY LYON. MANUSCRITS - AUTOGRAPHES - Première partie – MERCREDI 22 JANVIER 2025 à 14h30. Lyon Hôtel d'Ainay. Vous pouvez enchérir par ordres d’achat ou enchères téléphoniques en envoyant directement votre demande d’ordre d’achat ou votre réservation de ligne à l’étude avant le mercredi 18 janvier à 12h00 Tel. : + 33 (0) 4 72 73 45 67 ou DROUOT LIVE vous pouvez donc enchérir sur la plateformes (+1,8 % HT). AVEC INSCRIPTION AVANT LE MERCREDI 22 JANVIER à 12H00

Mercredi 22 janvier 2025

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LOIRE-ATLANTIQUE. Plus d'une trentaine de documents, XVIIe-XIXe. - [Saint-Nazaire]. Correspondance …

Estimation : 300 - 400 EUR
Description
LOIRE-ATLANTIQUE. Plus d'une trentaine de documents, XVIIe-XIXe. - [Saint-Nazaire]. Correspondance de 10 lettres adressées à M. Bord « entrepreneur du port de Saint-Nazaire », en particulier par le député Ernest Guillemin (1876-1878). - Procès-verbal d'érection du chemin de croix dans l'église paroissiale de St Jean de Béré, à Châteaubriant (1876, bel encadrement gravé), signé par Félix Fournier, évêque de Nantes. - 9 documents divers dont lettre du commissaire de la société philotechnique de Lorient à la Société des beaux-arts de Nantes (1836, au sujet de leur participation à leur prochaine exposition), lettre écrite de la paroisse de Trescalan (1849), etc. - THOMAS, directeur de la Monnaie de Nantes et Pierre-Louis PRIEUR « de la Marne » (1756-1827), conventionnel montagnard, envoyé à Nantes en remplacement de Carrier. P.A.S., 1 p. in-4. Nantes, 22 ventôse an 2 [12 mars 1794]. Reçu rédigé par le directeur de la Monnaie de Nantes pour des biens provenant des églises et de l'hôpital du Croisic. « Cinq calices et leurs patennes, une soucoupe, un soleil en vermeil avec ses glaces, un ciboire & deux custodes, le tout provenant de la ci-devant paroisse dudit Croisic […] ». Le tout certifié par Prieur de la Marne, envoyé en mission à Nantes. - Antoine ROLLIN DE LA FARGE (1740-1814), député de la Loire Inférieure. L.A.S. comme « professeur de navigation au port de Nantes et ex-législateur » à « monsieur le comte », 2 pp. in-4. Nantes, 3 oct. 1808. Désirant intégrer l'Université Impériale, Rollin de La Farge met en avant toutes les fonctions qu'il a occupées jusqu'alors pendant 40 ans : premier professeur de mathématiques des Gardes de la Marine, professeur de physique expérimentale à l'Académie royale de Marine jusqu'à sa nomination, en l'an 4, à la chaire de législation de l'École centrale de la Loire Inférieure « que j'ai rempli jusqu'à sa suppression […] ». « Pendant cette longue période d'années j'ai eu le bonheur de former un bien grand nombre d'officiers distingués et de sujets utiles à l'Etat […]. Pendant la Révolution, j'ai été assés heureux pour essuyer quelques larmes et n'ai jamais eu la douleur d'en faire répandre […] ». - Documents divers : ordination d'un prêtre par l'évêque de Nantes (Gabriel de Beauvau, 1650, parchemin) ; manuscrit d'une chanson sur la Vendée par Le Bouvier des Mortiers ancien maitre des comptes à Nantes (début XIXe) ; affichette interdisant la vente d'alcool à Saint-Nazaire (juillet 1918) ; programme d'un concert-conférence au casino de La Baule (1920) ; extrait de l'audience tenue au bourg d'Avessac (les paysans ayant laissé paître leurs vaches sur les terres de la seigneurie, 10 pp. in-4, 1740) ; facture illustrée d'un fabriquant de parapluies nantais (1848) ; affiche « Instruction sur le service des convois militaires » (Nantes janv. 1820) ; lettre de Guiberteau à Nantes (1738). Extrait des registres de la chambre des comptes de Bretagne (parchemin, 1634). Diplôùe du concours de danse organisé à La Baule par Femina (1925) - [Forges de Chateaubriant]. Louis-Joseph de Bourbon (1736-1818), dernier prince de Condé. Lettre signée au duc de Praslin. 2 pp. ½ in-4 (bord droit coupé enlevant quelques mots). Paris, 22 juin 1770. Il rappelle au duc de Praslin « qu'il m'est dû par le Roi depuis très longtemps une somme de 127845# provenant de fers fournis des forges dépendantes de ma terre de Chateaubriant en Bretagne ». Il rappelle les circonstances de ces réquisitions faites de 1758 à 1760, à l'époque de la guerre de sept-ans, pour le service de la Marine, qu'il n'a jamais été payé de ce qu'il a fourni, qu'on lui a refusé des intérêts et qu'il désire bénéficier de cette somme considérable pour s'acquitter de ses propres dettes envers le roi pour le paiement du vingtième.
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