Lot n° 20

THÉÂTRE. [ANOUILH Jean (1910-1987)] - Correspondance adressée à Jean Anouilh 10 documents. …

Estimation : 300 - 400 EUR
Adjudication : 364 €
Description
THÉÂTRE. [ANOUILH Jean (1910-1987)] - Correspondance adressée à Jean Anouilh 10 documents. BATY Gaston (1885-1952) L.S., Paris, 23 février 1937. 1 p. gd in-4 Sur papier du Théâtre Montparnasse. Il a vu ««LE VOYAGEUR SANS BAGAGES» le succès m'en a fait plaisir pour vous et pour [Georges] PITOËFF, qui l'interprète aussi bien qu'il est possible. Et mon plaisir aurait été sans mélange si je n'avais pas aimé votre œuvre au point qu'il m'est difficile de ne pas garder un peu de regret de ne pas l'avoir connue. [...]» ; BELL Marie (1900-1985) L.S. avec quelques corrections autographes Paris (s.d.). 1 p. 1/2. gd in-4. En-tête du Théâtre des Ambassadeurs. Elle lui donne son avis sur la méthode de travail a adopter lors des répétitions «Il est détestable que les comédiens reçoivent des indications contradictoires de trois personnes différentes. [...] Aussi, si comme il est parfaitement naturel, vous avez des observations à faire sur l'interprétation ou la mise en scène, il me paraît préférable que vous me le communiquiez, ainsi qu'à Geoffroy, soit à la fin de la répétition soit à l'interruption. [...]» ; MORLAY Gaby (1893-1964) L.A.S. (s.l.n.d.) «le 1er jour de juillet». 2 pp ½. in-4. Bel en-tête gravé représentant un dirigeable. Elle a lu La Sauvage (1934) «[...] je l'aime. Quand vous serez à Paris nous en parlerons [...]» ; NEVEUX Georges (1900-1982) carte postale en partie autographe signée, Nice, 14 janvier 1941. 2 pp. in-12 oblong. Il annonce la naissance de sa fille Noëlle, et se remet à travailler ; PASTEUR VALLERY-RADOT Louis (1886-1970) L.A.S., Paris, 23 novembre 1967. 1 p. gd in-4. En-tête de l'Académie Française. Il le complimente pour L'Alouette «C'est merveilleux ! tout est splendide [...]» ; PITOËFF Georges (1884-1939) L.S., Paris, 24 juillet 1937. 1 p. gd in-4. En-tête de la Compagnie Pitoëff - Théâtre des Mathurins. Il indique l'ordre des pièces «Je mettrai en répétitions LE SAUVAGE après L'ECHANGE et j'espère pouvoir passer avec cette pièce fin septembre, premiers jours d'Octobre.» Il lui annonce avoir commencé sa mise en scène et souhaite savoir si il y aura des modifications à apporter. Il lui demande des bonnes adresses au bord de la mer et conclut «[...] tâchez de ne pas partir en croisière sans me voir un court instant au sujet des distributions éventuelles [...]» ; PRINTEMPS Yvonne (1894-1977) C.A.S. Paris, (s.d.). 2 pp. in-16, en très mauvais état (quasiment illisible). Elle donne de ses nouvelles, la suite est décousue «[...] il était heureux de jouer la pièce et triste - tout est atroce - Je vous aime bien - je vous embrasse de tout mon cœur [...]» ; ROSTAND Maurice (1891-1968) L.A.S. Paris (s.d.) 2 pp. Il recommande un «[...] jeune artiste André Maillol qui joue en ce moment dans «L'Aiglon» [...]» ; SALACROU Armand (1899-1989) 4 L.A.S. Courval, Paris et Le Havre, (s.d.) 6 pp. in-8 et in-folio. Le havre, il annonce «Oui, nous pourrions très bien nous connaitre, et nous nous connaîtrons, j'espère, à la rentrée. [...]» il lui indique ses lieux de résidence et espère le voir dès son retour à Paris. Les deux lettres rédigées de Courval traitent du même sujet : une comédienne amie de Anouilh «colporte des propos explosifs», il essaie de lui faire deviner son identité «C'est une comédienne amie de votre femme et de vous, et qui joue dans ma pièce [...]» ; Paris, il joue beaucoup et souhaite voyager, se reposer, il indique à Anouilh que leurs femmes s'arrangeront pour «nous réunir» ; LEMAÎTRE Antoine Louis Prosper dit Frederick (1 800-1876). 2 L.A.S. adressée à monsieur Edouard Fournier, homme de lettres (s.l.n.d. 1867) 2 pp. in-folio. «Monsieur Edouard Fournier à qui je vous prie avec ce souvenir...» on joint son enveloppe et» Cher maître serait-il temps encore, pour obtenir, une petite baignoire pour ce soir ? cela me ferait grand plaisir !» ; RACHEL (1821-1858) L.A.S. «Rachel» à monsieur Arsène Houssay, (s.l.n.d.) le 9 décembre. 1 p. in-folio. «Mon cher monsieur Houssaye je viens de voir M Laroche qui attend m'a-t-il dit une loge pour la représentation de ce soir je m'empresse de vous le dire pour que vous puissiez encore réparer en cas d'oubli ce qui est tout naturel, milles amitiés.»
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