Au poète Albert Saint-Paul. 1891. Éloge argumenté du recueil de son correspondant Pétales de nacre. — Au même. 1891. « ... Combien je regrette de ne pouvoir vous faire le petit plaisir que vous me demandez ! Mais Les Aveugles ont été tirés strictement à 150 ex[em]pl[aires] et j'ai donné cet été le dernier à Paul Percheron pour le remercier du beau dévouement qu'il avait montré aux répétitions de L'Intruse... » (traces d'humidité ). L'écrivain proche des symbolistes et des Nabis Paul Percheron, ami de jeunesse de Lugné-Poe, avait convaincu ce dernier de représenter la pièce de Maeterlinck L'Intruse. — Au comédien et dramaturge Albert Darmont. 1905. « Je n'ai pas besoin de vous dire à quel point j'approuve votre idée de fonder aux portes de Paris un grand théâtre de la nature. J'imagine qu'il doit y avoir dans ce plein air et la pleine lumière, et surtout dans les grands arbres et le grand ciel, une justice irrésistible. On viendra essayer et éprouver les œuvres sur votre scène de verdure et celles que le public applaudira sur le conseil des arbres et de l'azur seront d'authentiques chefs-d'œuvre. Car je crois qu'en littérature comme en toutes choses, les arbres et le ciel sont plus sages que les hommes... » — [À la baronne de Watteville, née Krell]. 1917. « Je vous remercie sincèrement de l'envoi du IVe vol. des "Communications médiumniques". Les communications n'apportent pas encore la preuve que nous demandons, mais il est certain qu'elles sont extrêmement remarquables et montrent une fois de plus, en tout cas, que la pensée subliminale devance et dépasse bien souvent ce que peut concevoir la pensée consciente... » — À son « cher ami ». « 13 oct. », « La Poste m'apporte à la campagne (où je suis encore, incorrigible paysan) votre petit bleu... Je rentre à Paris lundi ou mardi prochain et si vous faisiez une seconde série, peut-être pourrai-je vous donner sur tout cela, conseillé par le pavé des villes, une opinion que les arbres d'ici, qui ne s'occupent que de l'automne, ne m'aident pas à trouver... »). — À Charles Grolleau des éditions Georges Crès (1917), à l'éditeur Eugène Figuière (1930), à un couple (s.d.).
