3 lettres au directeur de la Revue de Paris, Marcel Thiébaut. 1927. Concernant principalement sa nouvelle Les Clefs de la mort. — 4 lettres au même. 1939-1940 et s.d. Concernant principalement son Journal. — Une lettre et une carte au même. [1950]. Dont : remerciements pour une critique favorable sur son roman Moïra : « ... Ce qui m'a plu, surtout, c'est que vous vous soyez exprimé si clairement sur ce qui était sous-entendu ; je crois, en effet, que c'est là le rôle du critique, mais tous les critiques n'ont pas votre intuition ! Vous connaissez très bien la "cartographie de l'inconscient", et votre remarque sur le sommeil de Joseph est extrêmement juste (à ma connaissance, vous êtes le seul à avoir souligné cet aspect du personnage)... » — À un « cher ami ». S.d. « J'ai été heureux de recevoir de vous ce beau livre que je ne connaissais pas. On peut l'ouvrir au hasard et tomber presque toujours sur des passages admirables. C'est vraiment le meilleur de Claudel... » — 2 lettres à l'écrivain et éditeur Jean Denoël. S.d. Dont : « Je pense beaucoup à vous et souhaite de tout mon cœur que vous soyez rétabli quand ce mot vous parviendra. Vous avez raison de parler d'avertissement. Dieu nous en donne sans cesse et nous ne nous en apercevons pas toujours, mais vous êtes de ceux à qui il ne parle pas en vain... » — Carte autographe signée [probablement à l'éditeur André Sauret]. [1971]. « Je vous remercie de m'avoir envoyé cet admirable exemplaire de Moïra. La présentation ne pouvait être plus belle et je suis enchanté des merveilleuses illustrations d'André Brasilier... »
