Paris, Renduel, 1834. In-8, demi-maroquin à grain long prune à coins, dos plat orné d'un encadrement de filet doré, non rogné (Reliure de l'époque).
ÉDITION ORIGINALE.
Quelques rousseurs.
On a joint UNE LETTRE AUTOGRAPHE SIGNÉE (F. L.), Paris, 2 Août 1844, 4 pages in-12, à une amie à qui il envoie ses condoléances pour un deuil « Après tant d'années d'une vie toujours commune, même dans l'éloignement, voir tout à coup ces liens se briser, se sentir quasi l'ordre établi par une volonté dont nous adorons la Sagesse et par un amour dans le nôtre n'est que l'ombre ».
A propos de la vie recluse d'une amie chez les Dames anglaises, dont les pensionnaires ne peuvent recevoir qu'à la grille: « Or quant à moi, j'ai l'horreur des grilles surtout lorsqu'on m'a tenu derrière. J'y ai laissé toute ma santé, c'est-à-dire ce que j'en avais. Je n'ai plus d'estomac et l'estomac ce sont les forces... ».
Il parle longuement de sa vie, de ses occupations: « Les jambes me manquent. Elles me manquent bien plus encore à M. de Chateaubriand, c'est une vraie pitié... » etc.