est suivie d'une L.A.S. de sa mère, née Franziska Luser (1884-1935) à la même ; 1 page ¾ in-8 suivie d'une page et demie in-8; en allemand.
Il vient de recevoir son adorable carte de Noël, et il l'en remercie. Il joint une photo de sa sœur, appelée «Pitzbub», et espère qu'elle la reconnaîtra. Comme elle le sait, peut-être, il est élève au lycée. Ils doivent étudier diligemment et s'entraînent beaucoup. Il ne se laisse pas troubler, pour autant, mais garde à l'esprit le vieux dicton: «La patience est couronnée de roses, alors que s'agiter déchire les pantalons»... Il demande comment va Milie ; il lui semble qu'elle a dû terminer ses études et qu'elle mène la vie du Packfisch insouciant... Il a failli oublier le motif principal de cette lettre: un très grand service à demander. Qu'elle ne sa larme pas: il se demandait si elle ne pouvait lui envoyer quelques timbres postaux oblitérés, car il collectionne des timbres...
On joint une photographie d'Oskar et Elfriede Schindler, [février 1920] (A. Papousche. Zwittau).