QUÉLEN Hyacinthe-Louis de (1778-1839) Archevêque de Paris [AF 1824, 34e f]. — 24 L.A.S. « Hyacinthe archevêque de Paris » (la plupart), Paris 1819-1838 ; 28 pages in-4 ou in-8, la plupart avec adresse ou enveloppe, quelques cachets de cire...
Estimation :
400 - 500 €
Adjudication :
975 €
Description
rouge (portrait gravé joint).
Bel ensemble.
Correspondance de 11 lettres à la Princesse de BAUFFREMONT, témoignant d’une relation de confiance : il la prie d’accepter la charge de trésorière générale dans une œuvre (19 décembre 1832) ; émotion de recevoir ses paroles de consolation sur la mort de l’abbé Desjardins, après avoir reçu, pendant l’agonie et par l’intermédiaire de Mme de Marbeuf, « un objet précieux » (13 novembre 1833) ; il regrette que la négociation de la princesse ait échoué : « j’ai enfin appris que mon credit devoit s’abaisser devant des obstacles qui paroissent insurmontables » (2 novembre 1836) ; condoléances sur la mort du prince de Laval (13 juin 1837), etc.
D’autres lettres à Louis-Simon AUGER (son discours de réception n’est pas commencé : « les derniers événements ont tout a fait arrêté non seulement la plume mais la pensée », 5 octobre 1824), au Dr Ramon (relative à l’épidémie de choléra, 21 mai 1832), ainsi qu’à l’Abbé de RAVIGNAN, la Vicomtesse de Pons, un ami « de la religion, du Roi, de la société » (regrets sur la disparition de Bellart), etc.
▬ On joint :
• une L.S. (1382),
• une P.S. (lettres d’ordination en latin, 1823),
et
• le faire-part de son décès.
Bel ensemble.
Correspondance de 11 lettres à la Princesse de BAUFFREMONT, témoignant d’une relation de confiance : il la prie d’accepter la charge de trésorière générale dans une œuvre (19 décembre 1832) ; émotion de recevoir ses paroles de consolation sur la mort de l’abbé Desjardins, après avoir reçu, pendant l’agonie et par l’intermédiaire de Mme de Marbeuf, « un objet précieux » (13 novembre 1833) ; il regrette que la négociation de la princesse ait échoué : « j’ai enfin appris que mon credit devoit s’abaisser devant des obstacles qui paroissent insurmontables » (2 novembre 1836) ; condoléances sur la mort du prince de Laval (13 juin 1837), etc.
D’autres lettres à Louis-Simon AUGER (son discours de réception n’est pas commencé : « les derniers événements ont tout a fait arrêté non seulement la plume mais la pensée », 5 octobre 1824), au Dr Ramon (relative à l’épidémie de choléra, 21 mai 1832), ainsi qu’à l’Abbé de RAVIGNAN, la Vicomtesse de Pons, un ami « de la religion, du Roi, de la société » (regrets sur la disparition de Bellart), etc.
▬ On joint :
• une L.S. (1382),
• une P.S. (lettres d’ordination en latin, 1823),
et
• le faire-part de son décès.
