GAFFAREL (Jacques). Curiositez inouyes sur la sculpture talismanique des Persans, horoscope des Patriarches, et lecture des estoilles. Paris, Hervé du Mesnil, 1629. In-8, vélin souple ( Reliure de l’époque ) .
Estimation :
600 - 800
Adjudication :
600 €
Description
Édition originale rare du principal ouvrage du kabbaliste Jacques Gaffarel, dédiée à l’évêque de Nantes, Philippe Cospeau.
« C’est la seule qui soit imprimée en gros caractères et d’une lecture aussi aisée. C’est aussi la seule qui présente l’avantage d’une table détaillée des chapitres avec leurs sommaires ; la seule qui possède un erratum, etc. », selon Stanislas de Guaita.
Elle est illustrée de deux planches hors texte repliées, montrant la Configuration des étoiles en caractères célestes , et de quelques figures dans le texte, gravées sur bois.
Bibliothécaire de Richelieu et orientaliste, Jacques Gaffarel (1601-1681) est considéré comme le plus important représentant de la kabbale chrétienne au XVII e siècle. C’était, écrit Guaita, « une de ces fortes têtes que l’on dirait sculptées en bronze de Corinthe, éclairé d’un reflet du soleil hellénique ».
Rare exemplaire en vélin de l’époque , bien complet des deux planches dépliantes, qui manquent souvent.
Bords du second plat légèrement rongés, galeries de ver touchant quelques lettres, mouillure en fin de volume, déchirures sans manques aux deux planches. Dernier cahier relié dans le désordre avec un doublon des ff. C3 et C6.
Caillet, n°4293 - Dorbon, n°1808 - Guaita, n°1392 - Brunet, II, 1433.
« C’est la seule qui soit imprimée en gros caractères et d’une lecture aussi aisée. C’est aussi la seule qui présente l’avantage d’une table détaillée des chapitres avec leurs sommaires ; la seule qui possède un erratum, etc. », selon Stanislas de Guaita.
Elle est illustrée de deux planches hors texte repliées, montrant la Configuration des étoiles en caractères célestes , et de quelques figures dans le texte, gravées sur bois.
Bibliothécaire de Richelieu et orientaliste, Jacques Gaffarel (1601-1681) est considéré comme le plus important représentant de la kabbale chrétienne au XVII e siècle. C’était, écrit Guaita, « une de ces fortes têtes que l’on dirait sculptées en bronze de Corinthe, éclairé d’un reflet du soleil hellénique ».
Rare exemplaire en vélin de l’époque , bien complet des deux planches dépliantes, qui manquent souvent.
Bords du second plat légèrement rongés, galeries de ver touchant quelques lettres, mouillure en fin de volume, déchirures sans manques aux deux planches. Dernier cahier relié dans le désordre avec un doublon des ff. C3 et C6.
Caillet, n°4293 - Dorbon, n°1808 - Guaita, n°1392 - Brunet, II, 1433.
