[MENDOZA (Diego Hurtado de)]. La Vie de Lazarille de Tormes. Paris, H. Launette, 1886. Grand in-8 en feuilles, emboîtage de l'époque, maroquin vert, plaque de titre avec vignette dorée au premier plat, guirlande dorée intérieure au premier...
Estimation :
1000 - 1200
Adjudication :
Invendu
Description
contre-plat, second plat supportant 4 volets cartonnés munis de rubans pour recueillir l’ouvrage (Reliure de l'époque).
Édition illustrée d’un frontispice, de 10 planches hors texte à l’eau-forte et de nombreuses vignettes dans le texte, par Maurice Leloir.
Traduction et préface par Morel Fatio.
♦ Édition de grand luxe, tirée à 106 exemplaires réimposés au format grand in-8, celui-ci un des 50 sur japon, comportant un triple état des eaux-fortes hors-texte, un tirage à part des vignettes in-texte et une aquarelle originale signée de Maurice Leloir : peinte sur le faux-titre (11,5 x 13 cm), à deux personnages, illustrant un épisode du roman (p. 80).
─ On a joint
• le prospectus de souscription illustré.
─ On joint
• une L.A.S. « Maurice Leloir », à un critique, 95 rue Prony, 10 avril [18]81, 1 p. in-8 :
« En arrivant de la campagne, on me remet un numéro du Soir dans lequel vous parlez de moi d’une façon bien aimable, bien trop flatteuse. Malheureusement le tableau dont vous parlez et que vous aviez vu inachevé dans mon atelier, n’est pas encore fini. Il ne figure donc pas au Salon (...) ».
Édition illustrée d’un frontispice, de 10 planches hors texte à l’eau-forte et de nombreuses vignettes dans le texte, par Maurice Leloir.
Traduction et préface par Morel Fatio.
♦ Édition de grand luxe, tirée à 106 exemplaires réimposés au format grand in-8, celui-ci un des 50 sur japon, comportant un triple état des eaux-fortes hors-texte, un tirage à part des vignettes in-texte et une aquarelle originale signée de Maurice Leloir : peinte sur le faux-titre (11,5 x 13 cm), à deux personnages, illustrant un épisode du roman (p. 80).
─ On a joint
• le prospectus de souscription illustré.
─ On joint
• une L.A.S. « Maurice Leloir », à un critique, 95 rue Prony, 10 avril [18]81, 1 p. in-8 :
« En arrivant de la campagne, on me remet un numéro du Soir dans lequel vous parlez de moi d’une façon bien aimable, bien trop flatteuse. Malheureusement le tableau dont vous parlez et que vous aviez vu inachevé dans mon atelier, n’est pas encore fini. Il ne figure donc pas au Salon (...) ».
