[RAMOND DE CARBONNIÈRES (Louis-François-Elisabeth)]. Observations faites dans les Pyrénées, pour servir de suite à des Observations sur les Alpes, insérées dans une traduction des Lettres de W. Coxe, sur la Suisse. Paris, Belin, 1789....
Estimation :
300 - 400
Adjudication :
800 €
Description
– Voyages au Mont-Perdu et dans la partie adjacente des Hautes-Pyrénées. Paris, Belin, 1801. 2 ouvrages en un volume in-8, demi-basane fauve, dos lisse orné de guirlandes dorées, tranches mouchetées (Reliure de l’époque).
ÉDITION ORIGINALE DE CET OUVRAGE CONSIDÉRÉ COMME FONDATEUR DU PYRÉNÉISME, ET À CE TITRE TRÈS RECHERCHÉ
Il s'agit du récit des voyages effectués par le jeune Ramond de Carbonnières (1755-1827) dans la région de Barèges et le Luchonnais en 1787, illustré de trois planches dépliantes, dont deux cartes.
Les Voyages au Mont-Perdu reliés à la suite sont en édition originale, illustrée de cinq planches.
Amoureux des Pyrénées, l'auteur ne ménagea pas ses efforts pour y faire de longues randonnées et gravir le sommet du Mont-Perdu ou celui du Pic du Midi.
Ses nombreuses observations minéralogiques font de lui un des pères de la géologie moderne.
Manque le frontispice des Voyages au Mont-Perdu, quelques piqûres, un mors fendu, cachets répétés, un accroc à la coiffe supérieure.
Labarère, II, 1221 et 1228 – Fourcassié, Le Romantisme et les Pyrénées, pp. 27-33.
ÉDITION ORIGINALE DE CET OUVRAGE CONSIDÉRÉ COMME FONDATEUR DU PYRÉNÉISME, ET À CE TITRE TRÈS RECHERCHÉ
Il s'agit du récit des voyages effectués par le jeune Ramond de Carbonnières (1755-1827) dans la région de Barèges et le Luchonnais en 1787, illustré de trois planches dépliantes, dont deux cartes.
Les Voyages au Mont-Perdu reliés à la suite sont en édition originale, illustrée de cinq planches.
Amoureux des Pyrénées, l'auteur ne ménagea pas ses efforts pour y faire de longues randonnées et gravir le sommet du Mont-Perdu ou celui du Pic du Midi.
Ses nombreuses observations minéralogiques font de lui un des pères de la géologie moderne.
Manque le frontispice des Voyages au Mont-Perdu, quelques piqûres, un mors fendu, cachets répétés, un accroc à la coiffe supérieure.
Labarère, II, 1221 et 1228 – Fourcassié, Le Romantisme et les Pyrénées, pp. 27-33.
