TRISTAN L’HERMITE (François L'Hermite du Soliers, dit). Les Vers héroïques. Paris, chez l’autheur, Jean-Baptiste Loyson, Nicolas Portier, 1648. In-4, maroquin rouge, filets dorés cotinus et pointillés, fleuron aux angles, dos orné,...
Estimation :
300 / 400
Adjudication :
Invendu
Description
tranches dorées, emboîtage (Reliure moderne).
Édition originale.
Les Vers héroïques est l'un des des trois principaux recueils poétiques de Tristan L'Hermite, avec Les Amours de Tristan (1638) et La Lyre du sieur Tristan (1641), dans lequel il a rassemblé des poèmes d’inspiration profane et lyrique composés, et parfois publiés séparément, sur près de vingt ans de sa vie.
L'ouvrage est orné d'un titre-frontispice gravé sur cuivre non signé, un portrait de l'auteur par Daret d’après Du Guernier, un portrait du comte de Saint-Aignan, dédicataire du recueil, par le même Daret, un frontispice signé JB f. pour les Vers maritimes, un portrait d'après Rubens pour La Peinture de l'infante Isabelle, une figure anonyme pour La Mort d'Hippolyte et une figure gravée par François Chauveau pour La Maison d'Astrée.
Cette édition est rare et les exemplaires bien complets des sept hors-texte se trouvent difficilement.
Exemplaire relié en maroquin rouge dans le goût du XVIIe siècle, bien complet des cinq poèmes supprimés dans la plupart des exemplaires, imprimés avec la fin des Terreurs nocturnes sur un carton de 4 ff. intercalé entre les cahiers Mm et Nn.
Ex-libris manuscrit sur le titre-frontispice : Louis de Thomassin. Il pourrait s'agir de Louis de Thomassin d’Eynac (1619-1695), religieux et théologien français, prêtre de l'oratoire, issu d'une ancienne famille originaire de Bourgogne, qui était venue en Provence avec le roi René d'Anjou.
Planches parfois rognées par le couteau du relieur.
Quelques feuillets ternes avec de petites piqûres.
Tchemerzine, V, 925-928 – Picot : Cat. Rothschild, I, n°830 – Cat. de Backer, 1926, II, n°713.
Édition originale.
Les Vers héroïques est l'un des des trois principaux recueils poétiques de Tristan L'Hermite, avec Les Amours de Tristan (1638) et La Lyre du sieur Tristan (1641), dans lequel il a rassemblé des poèmes d’inspiration profane et lyrique composés, et parfois publiés séparément, sur près de vingt ans de sa vie.
L'ouvrage est orné d'un titre-frontispice gravé sur cuivre non signé, un portrait de l'auteur par Daret d’après Du Guernier, un portrait du comte de Saint-Aignan, dédicataire du recueil, par le même Daret, un frontispice signé JB f. pour les Vers maritimes, un portrait d'après Rubens pour La Peinture de l'infante Isabelle, une figure anonyme pour La Mort d'Hippolyte et une figure gravée par François Chauveau pour La Maison d'Astrée.
Cette édition est rare et les exemplaires bien complets des sept hors-texte se trouvent difficilement.
Exemplaire relié en maroquin rouge dans le goût du XVIIe siècle, bien complet des cinq poèmes supprimés dans la plupart des exemplaires, imprimés avec la fin des Terreurs nocturnes sur un carton de 4 ff. intercalé entre les cahiers Mm et Nn.
Ex-libris manuscrit sur le titre-frontispice : Louis de Thomassin. Il pourrait s'agir de Louis de Thomassin d’Eynac (1619-1695), religieux et théologien français, prêtre de l'oratoire, issu d'une ancienne famille originaire de Bourgogne, qui était venue en Provence avec le roi René d'Anjou.
Planches parfois rognées par le couteau du relieur.
Quelques feuillets ternes avec de petites piqûres.
Tchemerzine, V, 925-928 – Picot : Cat. Rothschild, I, n°830 – Cat. de Backer, 1926, II, n°713.
