Lot n° 236

Alphonse KARR (1808-1890). 3 L.A.S., et une P.A.S. ; 5 pages in-8 ou in-12, une enveloppe, et 1 page oblong in-4 (2 lignes ; on joint un fac-similé).. À Théodore de Banville, au sujet d’une adaptation théâtrale de L’été sous les...

Estimation : 120 / 150
Adjudication : Invendu
Description
tilleuls, une idée qu’il a souvent caressée mais non aboutie faute de moyens : « Envoyez-moi le scénario dont vous me parlez […]. Si la chose me paraît possible – après la lecture de ce scénario – j’achèverai volontiers l’opération. Remerciez et votre ami qui s’en est occupé – et M. le directeur de Vaudeville du bon accueil que vous me promettez de sa part »… Il a bien reçu ses odelettes et a été très fier d’y trouver son nom… [1855 ?], à un rédacteur : « Pourrait-on reproduire à peu près en autographe ces mots : un coin de mon jardin que j’ai déjà écrits, sous le dessin et qui seront suivis de ma griffe apposée ensuite par moi »… Nice, à M. Blanche, demande la croix pour son père : « Au moment même où une loi intelligente en abaissant le droit sur les fers étrangers – demandait un progrès à l’industrie métallurgique française, sous peine de la vie – mon père Eugène Karr, ingénieur – prenait un brevet pour l’invention de nouveaux feux d’affinerie (je parle peut-être fort mal cette langue spéciale) qui apportait à une usine de médiocre importance une économie de 80 fr par jour. Il serait illogique de dire à l’industrie : vous êtes stationnaire, progressez ou mourez – et de ne pas récompenser le progrès demandé […] au génie français »… Maxime sur une page d’album : « La première moitié de la vie se porte à désirer la seconde – la seconde à regretter la première ». . On joint 2 lettres d’un Lebrun de Riom (1836), et de Jules Michelet (1874).
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