BALDE (Jean). Mausolées, heures de guerre. Paris, Librairie Plon, s.d. [1916]. In-12, demi-maroquin violet avec coins, dos lisse orné de filets à froid, pièce de titre verte, tête dorée, non rogné, couverture et dos (H. Blanchetière).
Estimation :
400 - 500 €
Adjudication :
376 €
Description
Édition originale de ce recueil poétique sur les malheurs de la guerre.
♦ UN DES 8 EXEMPLAIRES NUMÉROTÉS SUR HOLLANDE, seul tirage en grand papier.
─ ENVOI AUTOGRAPHE de l’auteur, qui a signé de son véritable nom, Jeanne Alleman, à François et Madeleine Gébelin.
Madeleine Gébelin était la cousine de Jean Balde, et son mari François occupait le poste de conservateur de la bibliothèque de la Cour de Cassation à Paris. En 1922, le couple lui mit à disposition un appartement sous les combles avec une vue splendide sur la Seine et les quais.
─ On a ajouté à cet exemplaire
• une L.A.S. DE L’AUTEUR à son cousin Gébelin (4 pages in-12)
et
• le MANUSCRIT AUTOGRAPHE (7 pages in-8) du beau poème à Émile Despax, mort au champ d’honneur dans l’Aisne le 23 janvier 1915 (pp. 19-27).
─ On joint
• une L.A.S. DE MADAME FRANÇOIS MAURIAC, datée de Paris, le 30 avril, relative à la dernière maladie de Jean Balde (une page in-12) et relatant la dernière visite de François Mauriac à son chevet.
♦ UN DES 8 EXEMPLAIRES NUMÉROTÉS SUR HOLLANDE, seul tirage en grand papier.
─ ENVOI AUTOGRAPHE de l’auteur, qui a signé de son véritable nom, Jeanne Alleman, à François et Madeleine Gébelin.
Madeleine Gébelin était la cousine de Jean Balde, et son mari François occupait le poste de conservateur de la bibliothèque de la Cour de Cassation à Paris. En 1922, le couple lui mit à disposition un appartement sous les combles avec une vue splendide sur la Seine et les quais.
─ On a ajouté à cet exemplaire
• une L.A.S. DE L’AUTEUR à son cousin Gébelin (4 pages in-12)
et
• le MANUSCRIT AUTOGRAPHE (7 pages in-8) du beau poème à Émile Despax, mort au champ d’honneur dans l’Aisne le 23 janvier 1915 (pp. 19-27).
─ On joint
• une L.A.S. DE MADAME FRANÇOIS MAURIAC, datée de Paris, le 30 avril, relative à la dernière maladie de Jean Balde (une page in-12) et relatant la dernière visite de François Mauriac à son chevet.
