[KEPPEL]. Manuscrit. PROCÈS DE L’AMIRAL KEPPEL (1779). In-8, reliure veau marbré, dos lisse orné, pièce de tire manquante.
Estimation :
90 - 120 €
Description
Petite fente au départ d’un mors, épidermures. 354-(1) pp.
Texte encadré d’un trait de crayon, écriture parfaitement calligraphiée, sans rature.
Le dernier feuillet comporte la liste des vaisseaux composant les deux flottes, anglaise et française.
Une note en début d’ouvrage indique :
Ce livre a été écrit en entier par Pierre Claude Larquier, mon père, alors qu’il était attaché au ministère de la marine, et depuis avocat à Barbezieux où il est décédé le 7 juin 1837.
Cette note a été faite par Larquier notaire, le 9 janvier 1841.
L’ouvrage retranscrit les textes publiés dans les journaux (Gazette de France et minutes parues dans le Courier de l’Europe) relatifs au procès de l’Amiral de marine et parlementaire britannique Augustus Keppel (1725 - 1786).
Suite à la bataille livrée contre la flotte française au large d’Ouessant le 27 juillet 1778, Keppel est déféré le 7 janvier 1779 devant le Conseil de Guerre pour répondre de « manque de conduite et de négligence dans ses devoirs », accusation portée par le vice amiral Sir Hugh Palliser.
Le 12 février, l’Amiral Keppel est acquitté, son épée lui est rendue.
Texte encadré d’un trait de crayon, écriture parfaitement calligraphiée, sans rature.
Le dernier feuillet comporte la liste des vaisseaux composant les deux flottes, anglaise et française.
Une note en début d’ouvrage indique :
Ce livre a été écrit en entier par Pierre Claude Larquier, mon père, alors qu’il était attaché au ministère de la marine, et depuis avocat à Barbezieux où il est décédé le 7 juin 1837.
Cette note a été faite par Larquier notaire, le 9 janvier 1841.
L’ouvrage retranscrit les textes publiés dans les journaux (Gazette de France et minutes parues dans le Courier de l’Europe) relatifs au procès de l’Amiral de marine et parlementaire britannique Augustus Keppel (1725 - 1786).
Suite à la bataille livrée contre la flotte française au large d’Ouessant le 27 juillet 1778, Keppel est déféré le 7 janvier 1779 devant le Conseil de Guerre pour répondre de « manque de conduite et de négligence dans ses devoirs », accusation portée par le vice amiral Sir Hugh Palliser.
Le 12 février, l’Amiral Keppel est acquitté, son épée lui est rendue.
