(DOUBS) « ARC DE TRIOMPHE DE BESANÇON. » POÈME en 4 Chants dédié à la GRANDE ARMÉE, 1809 - Livret manuscrit d’époque 10 pages (17 x 11) -
Estimation :
250 - 300 €
Adjudication :
320 €
Description
“Je veux célébrer la naissance et la courte magnificence d’un Bâtiment anéanti tout en venant d’être bâti....
Un certain jour la renommée aux Byzantins vint annoncer que dans les murs devaient passer plusieurs Corps de la Grande Armée. Pour recevoir pompeusement ces défenseurs de la Patrie ; Ordre est donné par la Mairie qu’on leur élève un monument. étais noté bien qu’on va le faire avec du bois tout uniment...tans dis que le peuple travaille, tous à coup un Corps de soldats vers BESANÇON marche à grand pas. Mais, à malheur! Dieux quel dommage! on n’a pas achevé l’ouvrage.
Les Guerriers ne le verront pas. Le Maire se rend à la porte suivi d’une brillante escorte pour recevoir le Régiment :
D’abord, aux Chefs de la Cohorte il récite un beau compliment; puis il leur dit élégamment :
Messieurs vous devinez sans doute qu’elle était notre intention : nous voulions au bout de la route vous élever un Pavillon.
La saison qui n’est point propice n’a pas permis qu’on le finisse. Je suis fâché que le hasard précipite votre arrivée :
Vous eussiez vû l’oeuvre achevée...” (Extrait).
Un certain jour la renommée aux Byzantins vint annoncer que dans les murs devaient passer plusieurs Corps de la Grande Armée. Pour recevoir pompeusement ces défenseurs de la Patrie ; Ordre est donné par la Mairie qu’on leur élève un monument. étais noté bien qu’on va le faire avec du bois tout uniment...tans dis que le peuple travaille, tous à coup un Corps de soldats vers BESANÇON marche à grand pas. Mais, à malheur! Dieux quel dommage! on n’a pas achevé l’ouvrage.
Les Guerriers ne le verront pas. Le Maire se rend à la porte suivi d’une brillante escorte pour recevoir le Régiment :
D’abord, aux Chefs de la Cohorte il récite un beau compliment; puis il leur dit élégamment :
Messieurs vous devinez sans doute qu’elle était notre intention : nous voulions au bout de la route vous élever un Pavillon.
La saison qui n’est point propice n’a pas permis qu’on le finisse. Je suis fâché que le hasard précipite votre arrivée :
Vous eussiez vû l’oeuvre achevée...” (Extrait).
