BORDEAUX (33). ADULTÈRE. LIBERTINAGE. 2 Imprimés :
Estimation :
100 - 120 €
Adjudication :
100 €
Description
─ “MÉMOIRE de procès pour demoiselle Sophie-Françoise MANNIERES, épouse du Sieur BERTRAND-BONAVENTURE DUFOURC. Contre le dit Sieur DUFOURC, Licencié ès Lois, Administrateur et Membre du Directoire du District de BORDEAUX. Les Sieurs DUSSOL, ci-devant Avocat et Commissaire de Police de la même Ville, Jean LATHÉLISE, Marchand et BERTRAND MONTANAT, Maître d’Ecurie –
Impr. de 28 pp in-4° avec bandeau, fait à BORDEAUX, Chez Pierre BEAUME, Imprimeur-Libraire, rue Sainte Catherine. 1791 -
" …On s’agite, on accourt, on s’y presse pour assister au jugement de la dame DUFOURC accusée »
─ “MÉMOIRE du Sieur DEY, Huissier près le Tribunal de première instance, séant à BORDEAUX, contre La demoiselle Marie LAFITE, Habitante de BORDEAUX.” - Bandeau - Impr . de FERNEL & Cie, rue Porte-Dijeaux ; 15 pp in-4° - “Un homme malheureux, qui a toujours mérité l’estime publique, attaqué dans son honneur, doit sans doute se défendre...
Il demanda le Divorce le 7 nivôse an 10, pour cause d’incompatibilité d’humeur. Il eut pu sans doute dévoiler d’autres causes qui auraient couvert d’infamie Marie LAFITE, mais il voulut encore ménager la réputation d’une femme sans honte, qui, depuis longtemps, vivait du Libertinage, et qui avait voulu donner la mort à la fille qui lui devait le jour...”
Les deux :
Impr. de 28 pp in-4° avec bandeau, fait à BORDEAUX, Chez Pierre BEAUME, Imprimeur-Libraire, rue Sainte Catherine. 1791 -
" …On s’agite, on accourt, on s’y presse pour assister au jugement de la dame DUFOURC accusée »
─ “MÉMOIRE du Sieur DEY, Huissier près le Tribunal de première instance, séant à BORDEAUX, contre La demoiselle Marie LAFITE, Habitante de BORDEAUX.” - Bandeau - Impr . de FERNEL & Cie, rue Porte-Dijeaux ; 15 pp in-4° - “Un homme malheureux, qui a toujours mérité l’estime publique, attaqué dans son honneur, doit sans doute se défendre...
Il demanda le Divorce le 7 nivôse an 10, pour cause d’incompatibilité d’humeur. Il eut pu sans doute dévoiler d’autres causes qui auraient couvert d’infamie Marie LAFITE, mais il voulut encore ménager la réputation d’une femme sans honte, qui, depuis longtemps, vivait du Libertinage, et qui avait voulu donner la mort à la fille qui lui devait le jour...”
Les deux :
