MIRABEAU (Honoré Gabriel RIQUETTI, Comte de) Bignon (77) 1749 - Paris 1791 - Député de la Sénéchaussée d’AIX aux États Généraux, le Grand Orateur de l’Assemblée Constituante. Apostille Signée “MIRABEAU L’Ainé” avec corrections...
Estimation :
3 000 - 4 000 €
Adjudication :
Invendu
Description
autographes sur une Adresse circulaire de la SOCIÉTÉ DES AMIS DE LA CONSTITUTION. (plus connu sous le nom de Club des Jacobins.) “Approuvée pour être imprimée, MIRABEAU L’AINÉ.” -
texte révolutionnaire - (1790) - 2pp in-4°.
“Messieurs.
Nous voyons avec plaisir, le zèle dont vous êtes animés pour le Salut de la chose publique.
Le but de notre institution étant de propager le Patriotisme dans toutes les parties de l’Empire, toutes les sociétés des Amis de la Constitution, doivent s’unir par les liens de la plus intime fraternité, et s’attacher à ne former qu’une seule et même famille afin de travailler de concert à assurer le triomphe des Lois et de la Liberté.
Espérons, Messieurs, qu’un jour la Nation toute entière rendra justice à la pureté de nos vues, et qu’elle reconnaîtra, sans peine, que les sociétés des Amis de la Constitution, ont concouru à fixer, dans cet empire, la Paix et le Bonheur.
Nous nous empressons de vous apprendre combien la Société a été flattée de vous accorder l’affiliation que vous lui avez demandée.
Recevez, Messieurs, l’assurance bien sincère des sentiments d’estime et de fraternité que se doivent réciproquement tous les Amis de la Constitution. »
texte révolutionnaire - (1790) - 2pp in-4°.
“Messieurs.
Nous voyons avec plaisir, le zèle dont vous êtes animés pour le Salut de la chose publique.
Le but de notre institution étant de propager le Patriotisme dans toutes les parties de l’Empire, toutes les sociétés des Amis de la Constitution, doivent s’unir par les liens de la plus intime fraternité, et s’attacher à ne former qu’une seule et même famille afin de travailler de concert à assurer le triomphe des Lois et de la Liberté.
Espérons, Messieurs, qu’un jour la Nation toute entière rendra justice à la pureté de nos vues, et qu’elle reconnaîtra, sans peine, que les sociétés des Amis de la Constitution, ont concouru à fixer, dans cet empire, la Paix et le Bonheur.
Nous nous empressons de vous apprendre combien la Société a été flattée de vous accorder l’affiliation que vous lui avez demandée.
Recevez, Messieurs, l’assurance bien sincère des sentiments d’estime et de fraternité que se doivent réciproquement tous les Amis de la Constitution. »
