STANISLAS LESZCZYNSKI (1677-1766) - ROI DE POLOGNE, DUC DE LORRAINE, PÈRE DE LA REINE MARIE LESCZYNSKA. 5 L.A.S. «Stanislas Roy», 1754-1759, au Comte de TRESSAN ; 1 pages in-4 chaque (petite fente).
Estimation :
1 000 / 1 200
Adjudication :
Invendu
Description
5 signed autograph letters, signed «Stanislas Roy», 1754-1759, addressed to the Count of TRESSAN ; each 1 page in-4 (slight damage).
15 mai 1754. Il a reçu avec plaisir sa lettre «qui pouvoit tenir lieu d'un beau dyscours academique où le coeur est aussi eloquent que l'esprit. J'aye leu avec bien de satysfaction et d'admiration la belle piece que vous m'envoyez qui doit faire le plus belle ornement duRecueuill qui va paroistre». Il l'envoie à Solignac qui est à Nancy.
«Si touts les ouvrages de Literature estez comme celuy là, on ne balanceroit pas entre la credulité et le doutte pour se determiner à en juger de sa perfection. J'espere que vous n'oubliez pas sur ce que vous devez dire à l'érection de la statue. Je conte beaucoup sur l'honneur que vous fairez à la feste que je prepare»...
9 fevrier 1757.«Je prends toutte la part possyble mon cher Comte à l'afliction que vous cause la maladie de vostre seconds Fils», dont il souhaite le rétablissement. «Au reste tout ce que vous dites sur les affaires du temps est très judicieux et veritablle, c'est domage que vostre façon de penser ne se reduise qu'en fumée apres que j'aye vient de brusler la lettre». Quant au maréchal de Belle-Isle, «je me reserve de mettre en usage ce que vous souhaittez quand on verra plus claire sur ce qui le regarde»...
9 octobre 1758, au sujet d'une charge de maréchal des logis, et assurant Tressan de son amitié...
9 novembre 1759. «Je suis tres redevable mon cher Marquis au jour qu'yl vous a mis eu monde je le serois davantage sil vous avoit produit avec une meilleure santé»...S.d. «Je ne scaurois assez vous exprimer à qu'elle point Je ressents la satysfaction que vous donne la nouvelle que vous m'aprenez tout ce qui vous interesse me touche infiniment»...
▬ On joint
• une L.A. de la Marquise de BOUFFLERS à Tressan,Plombières.
15 mai 1754. Il a reçu avec plaisir sa lettre «qui pouvoit tenir lieu d'un beau dyscours academique où le coeur est aussi eloquent que l'esprit. J'aye leu avec bien de satysfaction et d'admiration la belle piece que vous m'envoyez qui doit faire le plus belle ornement duRecueuill qui va paroistre». Il l'envoie à Solignac qui est à Nancy.
«Si touts les ouvrages de Literature estez comme celuy là, on ne balanceroit pas entre la credulité et le doutte pour se determiner à en juger de sa perfection. J'espere que vous n'oubliez pas sur ce que vous devez dire à l'érection de la statue. Je conte beaucoup sur l'honneur que vous fairez à la feste que je prepare»...
9 fevrier 1757.«Je prends toutte la part possyble mon cher Comte à l'afliction que vous cause la maladie de vostre seconds Fils», dont il souhaite le rétablissement. «Au reste tout ce que vous dites sur les affaires du temps est très judicieux et veritablle, c'est domage que vostre façon de penser ne se reduise qu'en fumée apres que j'aye vient de brusler la lettre». Quant au maréchal de Belle-Isle, «je me reserve de mettre en usage ce que vous souhaittez quand on verra plus claire sur ce qui le regarde»...
9 octobre 1758, au sujet d'une charge de maréchal des logis, et assurant Tressan de son amitié...
9 novembre 1759. «Je suis tres redevable mon cher Marquis au jour qu'yl vous a mis eu monde je le serois davantage sil vous avoit produit avec une meilleure santé»...S.d. «Je ne scaurois assez vous exprimer à qu'elle point Je ressents la satysfaction que vous donne la nouvelle que vous m'aprenez tout ce qui vous interesse me touche infiniment»...
▬ On joint
• une L.A. de la Marquise de BOUFFLERS à Tressan,Plombières.
