BOUTROY (Zozime). - Clef pour servir à l'explication du planisphère, ou boussole harmonique. Paris, chez l'auteur, Beaublé, 1785.
Estimation :
1500 / 2000
Adjudication :
1500 €
Description
In-8 (196 x 121 mm), maroquin olive, triple filet doré, équerre et compas dorés aux angles, titre de l'ouvrage et trophée musical dorés au centre du premier plat, dos lisse orné, pièce de titre rouge, filet sur les coupes, dentelle intérieure dorée, tranches dorées (Reliure de l'époque).
► Édition originale de ce rare traité d'harmonie.
Elle comprend deux planches de musique gravée repliées en fin de volume.
Le Catalogue Collectif de France ne signale que trois exemplaires de cette première et unique édition de l'ouvrage (à la BnF, à Rouen et à Dijon).
Maître de composition, ZOZIME BOUTROY était violoniste et contrebassiste au Concert Spirituel et à l'Opéra.
Son planisphère – ou boussole harmonique pour rendre l'étude de l'harmonie plus sûre, plus simple et plus facile, soit pour composer, accompagner ou analyser toutes sortes de morceaux de musique – a paru à part, dans le Journal de Paris du 14 avril 1785, sous forme d'une feuille gravée (non jointe).
♦ Bel exemplaire relié en maroquin olive décoré de fers maçonniques.
Dos légèrement passé, un coin émoussé, quelques taches sur le premier plat.
Le Mercure de France, 1785, p. 142.
► Édition originale de ce rare traité d'harmonie.
Elle comprend deux planches de musique gravée repliées en fin de volume.
Le Catalogue Collectif de France ne signale que trois exemplaires de cette première et unique édition de l'ouvrage (à la BnF, à Rouen et à Dijon).
Maître de composition, ZOZIME BOUTROY était violoniste et contrebassiste au Concert Spirituel et à l'Opéra.
Son planisphère – ou boussole harmonique pour rendre l'étude de l'harmonie plus sûre, plus simple et plus facile, soit pour composer, accompagner ou analyser toutes sortes de morceaux de musique – a paru à part, dans le Journal de Paris du 14 avril 1785, sous forme d'une feuille gravée (non jointe).
♦ Bel exemplaire relié en maroquin olive décoré de fers maçonniques.
Dos légèrement passé, un coin émoussé, quelques taches sur le premier plat.
Le Mercure de France, 1785, p. 142.
