NECKER (Jacques). Compte rendu au roi, par M. Necker, directeur général des Finances, au mois de janvier 1781. Paris, Imprimerie du Cabinet du Roi, 1781. – [Précédé de :] Mémoire donné au roi, par M. Necker, en 1778. S.l.n.d. [1781]. 2...
Estimation :
200 / 300 €
Adjudication :
300 €
Description
ouvrages en un volume in-4, basane marbrée, dos orné, coupes guillochées, tranches rouges (Reliure de l'époque).
Édition originale.
Cette première édition, à l'adresse de l'Imprimerie du Cabinet du Roi, ne fut pas mise dans le commerce mais distribuée à quelques privilégiés avant la publication de l'ouvrage par l'Imprimerie royale.
→ Elle renferme deux cartes dépliantes aquarellées montrant les divisions des gabelles et des traites sur le territoire français et un tableau replié des Revenus et dépenses portés au Trésor royal.
Manifeste sur l'administration des finances de l'État, le Compte-rendu au roi figure au nombre des « bestsellers économiques » de l'Ancien Régime cités par Carpenter (les tirages de l'Imprimerie royale auraient été diffusés dans le public à quelque quarante mille exemplaires, d'après David Pottinger). Il demeure une source de première importance pour l'histoire financière et fiscale de la France.
→ Bel exemplaire en reliure du temps auquel on a joint le Mémoire de 1778, dont le frontispice est orné d'un beau portrait de Necker gravé d'après Le Brun.
De la bibliothèque Claude-Édouard de Bona, avocat à Tournus en 1790, avec ex-libris. Étiquette de cote manuscrite sur le premier plat.
Coiffe de tête un peu frottée, rares rousseurs.
Kress, B. 360 – Einaudi, n°4094 (et 4106) – Goldsmiths, n°12183 – Carpenter, XXVIII-3.
Édition originale.
Cette première édition, à l'adresse de l'Imprimerie du Cabinet du Roi, ne fut pas mise dans le commerce mais distribuée à quelques privilégiés avant la publication de l'ouvrage par l'Imprimerie royale.
→ Elle renferme deux cartes dépliantes aquarellées montrant les divisions des gabelles et des traites sur le territoire français et un tableau replié des Revenus et dépenses portés au Trésor royal.
Manifeste sur l'administration des finances de l'État, le Compte-rendu au roi figure au nombre des « bestsellers économiques » de l'Ancien Régime cités par Carpenter (les tirages de l'Imprimerie royale auraient été diffusés dans le public à quelque quarante mille exemplaires, d'après David Pottinger). Il demeure une source de première importance pour l'histoire financière et fiscale de la France.
→ Bel exemplaire en reliure du temps auquel on a joint le Mémoire de 1778, dont le frontispice est orné d'un beau portrait de Necker gravé d'après Le Brun.
De la bibliothèque Claude-Édouard de Bona, avocat à Tournus en 1790, avec ex-libris. Étiquette de cote manuscrite sur le premier plat.
Coiffe de tête un peu frottée, rares rousseurs.
Kress, B. 360 – Einaudi, n°4094 (et 4106) – Goldsmiths, n°12183 – Carpenter, XXVIII-3.
