Marie LAURENCIN 1883-1956 - Correspondance à Arnault Tzanck [Paris, Les-Moutiers-en-Retz, vers 1948]. Ens. 24 p. in-12 et in-8 sur papiers de différentes couleurs.
Estimation :
1 700 - 1 900 €
Adjudication :
Invendu
Description
Correspondance de Marie Laurencin à son admirateur et amant André Tzanck (1886-1954), dermatologue, père de la transfusion sanguine.
Elle comprend 11 lettres autographes, dont 9 signées, et une carte postale autographe signée.
Dans cette charmante correspondance intime, écrite dans un style télégraphique, l'artiste évoque sa vie quotidienne, trépidante à Paris et bien plus calme aux côtés des sœurs de Saint-Vincent-de-Paul aux Moutiers-en-Retz.
Elle fait aussi quelques allusions à son travail (" Débarrassée du bal de la Tour Eiffel ce soir. Je respire ! Surtout qu'il faut changer tout une partie du tableau Rosenberg pas à mon gré " et mentionne notamment Jean Paulhan (" Je lui écris que le cadre du tableau (princesse espagnole et un peu mon portrait du temps de jeunesse 1915) est chez nous à la cave ; d'ailleurs bien vilain, mais cadre tout de même. "), Natalie Clifford Barney et Marcel Jouhandeau.
L'une des lettres est ornée d'un ravissant dessin représentant une pie et des arabesques, dont l'artiste a également orné huit autres de ses lettres. -
Elle comprend 11 lettres autographes, dont 9 signées, et une carte postale autographe signée.
Dans cette charmante correspondance intime, écrite dans un style télégraphique, l'artiste évoque sa vie quotidienne, trépidante à Paris et bien plus calme aux côtés des sœurs de Saint-Vincent-de-Paul aux Moutiers-en-Retz.
Elle fait aussi quelques allusions à son travail (" Débarrassée du bal de la Tour Eiffel ce soir. Je respire ! Surtout qu'il faut changer tout une partie du tableau Rosenberg pas à mon gré " et mentionne notamment Jean Paulhan (" Je lui écris que le cadre du tableau (princesse espagnole et un peu mon portrait du temps de jeunesse 1915) est chez nous à la cave ; d'ailleurs bien vilain, mais cadre tout de même. "), Natalie Clifford Barney et Marcel Jouhandeau.
L'une des lettres est ornée d'un ravissant dessin représentant une pie et des arabesques, dont l'artiste a également orné huit autres de ses lettres. -
