René MAGRITTE 1898-1967 - Réunion de 5 lettres et 1 carte autographes signées [Vers 1956-1967]. Ens. 6 p. in-12, in-8 et in-4.
Estimation :
4 000 - 5 000 €
Adjudication :
Invendu
Description
►Important ensemble de 5 lettres et une carte autographes signées de René Magritte à Marcel Piqueray (1920-1997) qui, avec son frère jumeau Gabriel (1920-1992), anima pendant une vingtaine d'années la célèbre revue belge Phantomas :
" Ce que H. Corbin a écrit au sujet des récits d'Avicenne a le rare mérite selon moi d'être de la beauté presque [à l'état biffé] pure. Presque, car cette beauté n'est perçue par nous que pendant un temps plus ou moins court. Notre conscience - (ce que l'on appelle ainsi) - semble [devoir se pass biffé] toujours avoir besoin de temps et ne peut percevoir que de la beauté temporelle. Cette beauté temporelle la plus parfaite serait de la beauté presque pure - la beauté pure n'étant pas dans le temps. " (8 janvier 1956). La carte postale, timbrée le 24 janvier 1967, est illustrée d'une reproduction d'un dessin de Magritte pour Aube à l'antipode d'Alain Jouffroy.
▬[On joint :]
• le tract " Grande baisse " publié par Marcel Mariën à l'occasion de la rétrospective Magritte à Knokke-le-Zoute en 1962 (1 p. in-4, petites pliures et déchirures marginales) ;
• une longue lettre autographe signée de Christian Dotremont (1922-1979) à Marcel et Gabriel Piqueray (9 novembre 1965 ; 1 p. et demie in-4) ;
• une carte autographe signée de Marcel Mariën (1920-1993) à Marcel et Gabriel Piqueray (Bruxelles, décembre 1966 ? ; 1 p. in-12 avec des annotations sur la face illustrée) ;
• une collection complète du Ciel bleu, hebdomadaire littéraire pour tous, 22 février-19 avril 1945 (9 doubles feuillets in-folio).
Il ne parut que 9 numéros de ce journal publié sous la direction de Rose Capel, Paul Colinet, Christian Dotremont et Marcel Mariën, auquel collaborèrent notamment les frères Piqueray. -
" Ce que H. Corbin a écrit au sujet des récits d'Avicenne a le rare mérite selon moi d'être de la beauté presque [à l'état biffé] pure. Presque, car cette beauté n'est perçue par nous que pendant un temps plus ou moins court. Notre conscience - (ce que l'on appelle ainsi) - semble [devoir se pass biffé] toujours avoir besoin de temps et ne peut percevoir que de la beauté temporelle. Cette beauté temporelle la plus parfaite serait de la beauté presque pure - la beauté pure n'étant pas dans le temps. " (8 janvier 1956). La carte postale, timbrée le 24 janvier 1967, est illustrée d'une reproduction d'un dessin de Magritte pour Aube à l'antipode d'Alain Jouffroy.
▬[On joint :]
• le tract " Grande baisse " publié par Marcel Mariën à l'occasion de la rétrospective Magritte à Knokke-le-Zoute en 1962 (1 p. in-4, petites pliures et déchirures marginales) ;
• une longue lettre autographe signée de Christian Dotremont (1922-1979) à Marcel et Gabriel Piqueray (9 novembre 1965 ; 1 p. et demie in-4) ;
• une carte autographe signée de Marcel Mariën (1920-1993) à Marcel et Gabriel Piqueray (Bruxelles, décembre 1966 ? ; 1 p. in-12 avec des annotations sur la face illustrée) ;
• une collection complète du Ciel bleu, hebdomadaire littéraire pour tous, 22 février-19 avril 1945 (9 doubles feuillets in-folio).
Il ne parut que 9 numéros de ce journal publié sous la direction de Rose Capel, Paul Colinet, Christian Dotremont et Marcel Mariën, auquel collaborèrent notamment les frères Piqueray. -
