BARBEY d’AUREVILLY Jules - Memoranda. Préface de Paul Bourget. P., Rouveyre & Blond 1883,
Estimation :
80/100 €
Description
in-12 broché, couv. rempliée de 2 ff.- xxvii-[4]-152 pp.- 1f. et un portrait front. gravé par Abot.
« Tirage à petit nombre », celui-ci sur Arches.
Ex-libris manuscrit de l’écrivain et essayiste Pierre de BOUCHAUD.
Lorsqu’il confie, les premiers memoranda à Saint-Victor, Barbey écrit : « Ils vous seront, j’imagine, un grand aliment de songerie. Il y a là dedans un bouillonnement, une impétuosité d’expressions, une vérité brutale, un je m’en f…! de la phrase, lesquels ont et exercent un ascendant véritable sur les esprits qui aiment le vrai, et surtout quand il est chaud, comme le café… Ce qui me plait surtout, à moi, c’est que ce n’est pas là de la littérature ».
▬ON JOINT :
• JOURDAIN Franz - Beaumignon.
P., Lévy 1886,
in-8° illustré de nombreux dessins par 20 artistes dont : Barillot, Comba, Mars, Marcel Pille, G. Toudouze.
Reliure à la Bradel demi-chagrin cognac. Édition originale, un des 25 ex. sur Japon (n° 2), seul grand papier.
Franz Jourdain écrivit des chroniques, portraits et anecdotes au Phare de la Loire (1877-1887) sous le pseudonyme de Spiridon.
« Tirage à petit nombre », celui-ci sur Arches.
Ex-libris manuscrit de l’écrivain et essayiste Pierre de BOUCHAUD.
Lorsqu’il confie, les premiers memoranda à Saint-Victor, Barbey écrit : « Ils vous seront, j’imagine, un grand aliment de songerie. Il y a là dedans un bouillonnement, une impétuosité d’expressions, une vérité brutale, un je m’en f…! de la phrase, lesquels ont et exercent un ascendant véritable sur les esprits qui aiment le vrai, et surtout quand il est chaud, comme le café… Ce qui me plait surtout, à moi, c’est que ce n’est pas là de la littérature ».
▬ON JOINT :
• JOURDAIN Franz - Beaumignon.
P., Lévy 1886,
in-8° illustré de nombreux dessins par 20 artistes dont : Barillot, Comba, Mars, Marcel Pille, G. Toudouze.
Reliure à la Bradel demi-chagrin cognac. Édition originale, un des 25 ex. sur Japon (n° 2), seul grand papier.
Franz Jourdain écrivit des chroniques, portraits et anecdotes au Phare de la Loire (1877-1887) sous le pseudonyme de Spiridon.
