MALLARMÉ, Stéphane & William BECKFORD. Vathek. Réimprimé sur l’original français. Avec la préface de Stéphane Mallarmé. Paris, Perrin et Cie, 1893.
Estimation :
1 000 / 2 000 €
Adjudication :
6 266 €
Description
In-12 (196 x 144 mm) de (2) ff. le premier blanc, XLVII, 208 pp. la dernière non chiffrée : broché ; étui moderne en demi-chagrin vert.
Seconde édition.
UN DES 15 EXEMPLAIRES sur papier de Hollande van Gelder, seul grand papier (nº 12).
On joint :
• une belle lettre de Mallarmé à l’éditeur bruxellois Edmond Deman (27 juillet 1891, 4 pages in-12) : le poète s’excuse de lui avoir été infidèle en publiant ce Vathek chez Perrrin. Puis : “Pour finir et entre nous : un journaliste, Maurice Guillemot, à qui Huysmans a parlé de vous, me prie de vous proposer un livre intitulé Sadisme, avec frontispice de Rops : j’ai été sur le point de répondre, de moi-même, que vous n’éditiez maintenant qu’exceptionnellement ; est-ce ce qu’il faut dire ? […]”
• Le manuscrit autographe signé du chaleureux compte rendu de l’ouvrage publié par Remy de Gourmont dans le Mercure de France (4 pages in-4) : “Sans la persévérance de M. Mallarmé, qui, à cette heure, lirait le français de Vathek ? […] La préface est le chef-d’oeuvre qu’il fallait à ce chef-d’oeuvre.”
Seconde édition.
UN DES 15 EXEMPLAIRES sur papier de Hollande van Gelder, seul grand papier (nº 12).
On joint :
• une belle lettre de Mallarmé à l’éditeur bruxellois Edmond Deman (27 juillet 1891, 4 pages in-12) : le poète s’excuse de lui avoir été infidèle en publiant ce Vathek chez Perrrin. Puis : “Pour finir et entre nous : un journaliste, Maurice Guillemot, à qui Huysmans a parlé de vous, me prie de vous proposer un livre intitulé Sadisme, avec frontispice de Rops : j’ai été sur le point de répondre, de moi-même, que vous n’éditiez maintenant qu’exceptionnellement ; est-ce ce qu’il faut dire ? […]”
• Le manuscrit autographe signé du chaleureux compte rendu de l’ouvrage publié par Remy de Gourmont dans le Mercure de France (4 pages in-4) : “Sans la persévérance de M. Mallarmé, qui, à cette heure, lirait le français de Vathek ? […] La préface est le chef-d’oeuvre qu’il fallait à ce chef-d’oeuvre.”
