JARRY, Alfred. L’Amour absolu. Roman. Sans lieu ni date [Paris, l’auteur, 1899].
Estimation :
2 000 / 3 000 €
Adjudication :
17 545 €
Description
In-8 carré (223 x 172 mm) de 103 pp. : broché, couvertures muettes, étui.
Édition originale tirée à 50 exemplaires, aux dépens de l’auteur (nº 13).
Elle reproduit le texte autographié.
Édition prétendûment réservée aux souscripteurs, non diffusée et pas vraiment éditée.
Alfred Jarry en fut pour ses frais : en 1905, une trentaine des exemplaires déposés
au Mercure de France étaient encore disponibles.
L’exemplaire est exceptionnellement numéroté et signé par Alfred Jarry.
L’écrivain a ajouté de sa main les indications d’éditeur, de lieu et de date sur la première page tenant lieu de titre : Paris, Mercure de France, 1899.
Alfred Vallette avait refusé de publier sous la marque du Mercure ce que l’auteur qualifie de “roman”, sans doute par volonté de masquer l’extraordinaire impudence des confidences.
“Paradoxe unique d’une écriture très protégée par un hermétisme mallarméen, qui écarte le lecteur, et par là autorise les plus secrètes confessions”.
Patrick Besnier fait remarquer que le livre finit par ressembler à un cahier d’écolier,
ce qui convient parfaitement à ce roman de l’enfance.
Édition originale tirée à 50 exemplaires, aux dépens de l’auteur (nº 13).
Elle reproduit le texte autographié.
Édition prétendûment réservée aux souscripteurs, non diffusée et pas vraiment éditée.
Alfred Jarry en fut pour ses frais : en 1905, une trentaine des exemplaires déposés
au Mercure de France étaient encore disponibles.
L’exemplaire est exceptionnellement numéroté et signé par Alfred Jarry.
L’écrivain a ajouté de sa main les indications d’éditeur, de lieu et de date sur la première page tenant lieu de titre : Paris, Mercure de France, 1899.
Alfred Vallette avait refusé de publier sous la marque du Mercure ce que l’auteur qualifie de “roman”, sans doute par volonté de masquer l’extraordinaire impudence des confidences.
“Paradoxe unique d’une écriture très protégée par un hermétisme mallarméen, qui écarte le lecteur, et par là autorise les plus secrètes confessions”.
Patrick Besnier fait remarquer que le livre finit par ressembler à un cahier d’écolier,
ce qui convient parfaitement à ce roman de l’enfance.
