LAURVIK, J. Nilsen. Is it Art ? Post-Impressionism, Futurism, Cubism. New York, The International Press, 1913. Plaquette in-8, brochée, couverture rempliée illustrée d'une photographie, étui-chemise. Édition originale. Parmi les 8 reproductions...
Estimation :
1000 / 2000
Adjudication :
1 000 €
Description
photographiques illustrant l'ouvrage, on retient en particulier, hormis
la célèbre photographie des frères Duchamp intitulée The Futurist Brothers, les deux attractions
principales de l'Armory Show qui furent sujettes à de violentes polémiques : Le Madras rouge de
Matisse et le Nu descendant un escalier n° 2 de Duchamp.
La couverture est illustrée du portrait de Mlle Pogany par Brancusi.
Première réflexion d'envergure consacrée à l'Armory Show, publiée en parallèle de l'exposition.
L'auteur lui-même en débita les exemplaires à la sortie de l'exposition, lorsque celle-ci se tenait à
Boston, au double du prix du catalogue officiel.
Laurvik livre ses réflexions personnelles, iconoclastes, sur la révolution en cours, concluant ainsi :
“And after all, this movement which appears to us so anomalous and orderless may be the precursor
of something we are as yet unable to suspect. What it seems to lack is the crystallizing force of a
superior genious who will bring into solution all these contrary elements, who will pronounce the
Fiat Lux that shall bring order out of chaos.”
Exemplaire parfait, tel que paru.
“This movement which appears to us
so anomalous and orderless
may be the precursor of something
we are as yet unable to suspect”
la célèbre photographie des frères Duchamp intitulée The Futurist Brothers, les deux attractions
principales de l'Armory Show qui furent sujettes à de violentes polémiques : Le Madras rouge de
Matisse et le Nu descendant un escalier n° 2 de Duchamp.
La couverture est illustrée du portrait de Mlle Pogany par Brancusi.
Première réflexion d'envergure consacrée à l'Armory Show, publiée en parallèle de l'exposition.
L'auteur lui-même en débita les exemplaires à la sortie de l'exposition, lorsque celle-ci se tenait à
Boston, au double du prix du catalogue officiel.
Laurvik livre ses réflexions personnelles, iconoclastes, sur la révolution en cours, concluant ainsi :
“And after all, this movement which appears to us so anomalous and orderless may be the precursor
of something we are as yet unable to suspect. What it seems to lack is the crystallizing force of a
superior genious who will bring into solution all these contrary elements, who will pronounce the
Fiat Lux that shall bring order out of chaos.”
Exemplaire parfait, tel que paru.
“This movement which appears to us
so anomalous and orderless
may be the precursor of something
we are as yet unable to suspect”
