VALÉRY (Paul). Degas Danse Dessins. Paris, Ambroise Vollard, 1936. In-4, maroquin grenat, jeu de filets dorés courbes se croisant et formant des sortes de losanges dont celui du centre en mosaïqué d'une pièce de maroquin rouge sur les plats,...
Estimation :
2000 / 3000
Adjudication :
8000 €
Description
décor se prolongeant sur le dos lisse, tranches dorées sur témoins, doublure et gardes de daim grenat, doubles gardes de papier moucheté, couverture et dos, chemise et étui (G. Cretté succ. de Marius Michel).
Édition originale illustrée de 26 gravures hors-texte sur cuivre par Maurice Potin et 25 in-texte sur bois par Georges Aubert, d’après des compositions en noir et en couleurs d'Edgar Degas. # Exemplaire numéro 297 du tirage à 325 exemplaires sur vélin de Rives. # Paul Valéry et Edgar Degas s'étaient rencontrés vers 1893 chez Henri Rouart, dont le fils Ernest deviendra l'élève de l'artiste et dont le poète raconte ici les souvenirs. # Grandiose illustration au sujet de laquelle François Chapon qualifie Maurice Potin de "graveur virtuose, qui [...] montra ses capacités en traduisant, jusqu'au moindre rehaut de pastel, les œuvres de Degas [...]". # Belle reliure de Georges Cretté. # Carteret Illustrés IV, p. 385 – François Chapon, Le Peintre et le livre, pp. 54 et 282 – Marcel Garrigou, Georges Cretté, n°561.
Édition originale illustrée de 26 gravures hors-texte sur cuivre par Maurice Potin et 25 in-texte sur bois par Georges Aubert, d’après des compositions en noir et en couleurs d'Edgar Degas. # Exemplaire numéro 297 du tirage à 325 exemplaires sur vélin de Rives. # Paul Valéry et Edgar Degas s'étaient rencontrés vers 1893 chez Henri Rouart, dont le fils Ernest deviendra l'élève de l'artiste et dont le poète raconte ici les souvenirs. # Grandiose illustration au sujet de laquelle François Chapon qualifie Maurice Potin de "graveur virtuose, qui [...] montra ses capacités en traduisant, jusqu'au moindre rehaut de pastel, les œuvres de Degas [...]". # Belle reliure de Georges Cretté. # Carteret Illustrés IV, p. 385 – François Chapon, Le Peintre et le livre, pp. 54 et 282 – Marcel Garrigou, Georges Cretté, n°561.
