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196. GAUtier (théophile). e
MAUx et CAMÉes
.
Paris, Didier, 1852.
in-16, maroquin rouge, triple filet doré, dos
richement orné aux petits fers et fleurons dorés, dentelle intérieure, tranches dorées sur témoins, couverture
(Allô).
2 500 / 3 500 €
Édition originale.
U
n des rArissiMes exeMPLAires sUr HoLLAnde
.
Portrait de l’auteur gravé à l’eau-forte par
Félix Bracquemont
en 1857 et tiré sur chine monté, ajouté.
fine reliure de Charles Allô, relieur originaire d’Amiens et actif à Paris dans la seconde moitié du xix
e
siècle.
197. GAUtier (théophile). A
CCUsÉ de
r
ÉCePtion
. Poème autographe signé, sans date [1869], une page in-8
(213 x 135 mm), sous chemise demi-maroquin noir moderne.
800 / 1 200 €
C
UrieUx et AMUsAnt PoèMe
(16 vers), inspiré à Gautier par une
aquarelle orientaliste de la princesse Mathilde, qui sera recueilli
dans ses
Poésies complètes
sous le titre de
L’Esclave noir. Stances
sur une aquarelle de la princesse M***
et daté du 14 janvier 1869
(éd. Charpentier, 1890, t. ii, p. 270).
Un bel esclave à peau d'ébène
Mohammed ou bien Abdallah,
pour mon Musée heureuse aubaine
vient du pays de la fellah.
Comme elle il habitait le Caire;
tout en fumant son Lattakieh,
il la voyait passer naguère
sur la place de l'Esbekieh...
80
198. GAUtier (théophile). Lettre autographe signée à
Hector Berlioz, sans date, une page in-8 (205 x 134 mm),
trace de pliures, sous chemise demi-maroquin noir
moderne.
500 / 800 €
B
eLLe renContre de deUx fiGUres dU roMAntisMe
.
Gautier s'adresse ici à Berlioz en tant que critique musical.
il tenait en effet le feuilleton musical du
Journal des Débats
et y collabora de 1834 à 1863. Gautier lui
recommande très
chaudement le jeune Léon Reynier, violoniste qui a eu le 1er
prix du conservatoire.
Cet artiste
vient de donner un concert
où il a eu beaucoup de succès.
exhortation amicale :
Guirlandez-le avec soin dans une de vos chroniques
musicales je vous en serai très reconnaissant ...
Le violoniste Léon reynier (1833-1895) reçut le premier
prix du conservatoire de Paris en 1848. théophile Gautier
lui consacra un article élogieux dans
La Presse
du
11 avril 1853.
197