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219 ROSTAND (Edmond). Un Soir à Hernani.
Paris, Fasquelle, 1902.
In-4, maroquin rouge, plats mosaïqués de deux
triangles de maroquin citron, filet doré, dos avec chiffre couronné, dentelle intérieure dorée sur pièce de maroquin
rouge et citron (
Reliure de l’époque
)
.
1 500 / 2 000
Édition originale. Le poème
Un Soir à Hernani
, évocation du village de Hernani situé dans le pays basque espagnol,
parut dans le journal
Le Gaulois
à l’occasion de la célébration du centième anniversaire de la naissance de Victor Hugo,
à Paris le
26
février
1902
.
Un des
30
exemplaire sur japon, seul grand papier, habituellement de format in-
8
, mais ici très grand de marges.
Exemplaire unique, brillamment décoré dans les marges de
16
aquarelles originales signées de Jane Labrousse.
Exemplaire enrichi du portrait de l’auteur sur japon gravé à l’eau-forte par
F. Desmoulin
et d’une carte postale
représentant en médaillon l’académicien avec dédicace autographe signée d’Edmond Rostand : « … C’est la Nuit
qu’il est beau de croire à la Lumière ! (Chanteclerc) ».
De la bibliothèque du Comte Michel Keller, avec ex-libris.
220 SAMAIN (Albert). Aux flancs du Vase.
Paris, Société du Livre
d’Art, 1906.
Petit in-4, maroquin olive, filet doré, palmettes
mosaïquées de maroquin havane et vert sur les plats, dos
orné, tranches dorées, cadre intérieur orné d’une dentelle
dorée, doublure et gardes de reps olive, couverture et dos, étui
(
Chambolle-Duru
)
.
800 / 1 000
Ouvrage orné de
54
eaux-fortes originales en couleurs de
Gaston La Touche
, dont un frontispice, une vignette de titre,
un bandeau,
26
culs-de-lampe, tirés en vert et
25
grandes
vignettes en couleurs illustrant les
26
poèmes du recueil.
Tirage limité à
100
exemplaires sur vélin d’Arches.
Exemplaire enrichi d’une aquarelle originale signée de
La Touche. Variante de la gravure du poème Xanthis, p.
45
(
15
x
11
cm).
Élégante reliure mosaïquée par René Victor Chambolle
et Hippolyte Duru.
Dos légèrement passé.
On joint une L.A.S. de Gaston La Touche à « Mon cher ami »,
s.d.,
3
pp. in-
8
. Rentrant d’Espagne, le peintre remercie son
correspondant pour un article « charmant » consacré à son
envoi au Salon.
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